En raison de la situation sécuritaire dans le pays, les autorités maliennes ont décidé d’activer l’article 24 de la nouvelle constitution faisant état de la mobilisation générale de tous les citoyens âgés de 18 ans au moins.
Au Mali, la situation sécuritaire et humanitaire de la région de Ménaka devient de plus en plus pressante. Elle devient préoccupante, aujourd’hui, en dépit de l’activisme croissant des groupes extrémistes violents rivaux dont l’épicentre, de plus en plus, se déplace vers les zones urbaines et semi-urbaines.
L’ex-Premier ministre, Moussa Mara, fondateur du parti « Yéléma, le changement », a accepté d’accorder une interview à l’hebdomadaire Sahel Kunafoni. Dans cet entretien, il est question de gouvernance, de réformes politiques et institutionnelles, de sécurité ainsi que de la relation entre le Mali et ses voisins.
A son procès, dans le monde des morts, il fait le bilan de son règne, devant les patriarches. Un billet qui donne à réfléchir sur la lourde responsabilité d’être chef, surtout dans un pays où la sécurité reste encore un idéal.
Si le Sahel reste en proie à des conflits récurrents, les pays de la région n’en connaissent pas moins des dynamiques positives en matière de développement économique et social.
A l’occasion de la Journée internationale pour protéger l’éducation des attaques, célébrée le 9 septembre, l’Unicef a fait état des impacts de la crise sécuritaire sur l’éducation au Niger.