Les effets délétères de l’économie malienne sont ressentis dans les secteurs et sur d’innombrables activités au Mali. Les cérémonies sociales ne connaissent pas cette cherté de la vie.
Le directeur général du Commerce et de la Consommation, Boukadary Doumbouya, a une fois de plus rassuré les Maliens sur le prix des produits de première nécessité. Il a indiqué que bientôt le sucre local malien sera sur le marché.
La cherté du marché est une réalité dans le quotidien des Maliens. Aucun produit ni aucun secteur n’échappe au phénomène. Si les produits de première nécessité ne deviennent pas rares, leurs prix les rendent inaccessibles au pouvoir d’achat des consommateurs maliens, qui peinent à avoir les moyens de s’en procurer.
A Bamako, les populations font face à d’énormes difficultés : flambée des prix dans les stations d’essence, dans le secteur du transport en commun, mais aussi dans les marchés locaux. Des Maliens s’expriment sur cette situation du pays marquée par des inflations à tout Azimut.