Après une première phase consacrée à la sécurisation du pays et aux réformes politiques et institutionnelles, la transition malienne entend consacrer sa deuxième phase, « aux projets structurants, destinés à poser les bases d’un véritable développement ».
Les Marocains l’ont compris, et ils ont baissé les taux directeurs à 1,5 %, le gouvernement tunisien finira-t-il par s’en rendre compte ? et comprendre que dans une telle situation, toute mesure fiscale restrictive, impliquant l’augmentation de la pression fiscale se soldera par un échec cuisant, et ne pourra qu’aggraver davantage, les effets dévastateurs de la crise économique.
Aujourd’hui, en Afrique les regards restent tournés sur la préparation de l’après-covid-19. À ce titre, on estime que la science, la technologie et l’innovation constituent de véritables moteurs pour la relance économique.