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Mobilisation au monument de l'indépendance
Actu

[Tribune] Souveraineté : le peuple malien refuse d’être « cédéaonisé » et « uemoanisé »

by Sahel Tribune 11 février 2023
written by Sahel Tribune 3 minutes read

Le 14 janvier 2022, à travers une manifestation historique, le peuple malien a refusé d’être « cédéaonisé » et « uemoanisé ».

En réaction aux sanctions « illégales, illégitimes et inhumaines », imposées au Mali à l’issue du double sommet de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa), le 9 janvier 2022, le peuple malien s’est massivement mobilisé le 14 janvier pour protester contre ces mesures draconiennes.

Noyau du bouleversement géopolitique en Afrique

Le néologisme « cédéaoniser » se traduit par piétiner dans le sens d’imposer ses penchants à l’autre, ou de l’utiliser comme moyen pour arriver à ses fins. Ainsi, « cédéaoniser » un individu, c’est l’obliger de prendre une décision contre ses propres intérêts. Ce nouveau concept est le fruit de la tension géopolitique qui a eu lieu et qui continue entre le Mali et la Cédéao, face aux sanctions des États membres de cette institution, excepté la Guinée Conakry en janvier 2022. De l’autre côté, nous avons le néologisme « uemoaniser », inspiré des sanctions économiques au Mali par l’Uemoa se traduisant par punir économiquement et/ou financièrement quelqu’un, une communauté, un État.

Le vendredi 14 janvier 2022 est venu accroître le volume des jours historiques du Mali. C’est désormais la nouvelle journée historique de l’unité retrouvée au Mali. Car c’est le jour pendant lequel le peuple malien a montré au monde entier qu’il est libre et indépendant, par ricochet « Un Peuple — Un But — Une Foi ».

Le peuple malien devient donc le noyau du bouleversement géopolitique en Afrique, sans oublier que les vagues d’un tel séisme peuvent impacter les habitants d’autres airs géographiques.

Victime de la politique de la « Françafrique à la Mafiafrique »

Il est clair comme l’eau de roche que le peuple africain aspire à une existence digne de ce nom dans le monde. Il a été, d’une part, victime de la politique de la « Françafrique à la Mafiafrique », comme le dira François-Xavier Verschave, et, d’autre part, victime de la mauvaise foi de certains de ses dirigeants microbes et vendeurs d’illusions. La plupart de ces dirigeants microbes sont tombés dans la doxomimétique à telle enseigne que certains pays africains sont devenus des départements de l’ancien colonisateur.

Une espèce d’école pour les autres

Par ailleurs, le peuple malien fut admiré par les uns et les autres dans la mesure où il a agi en communauté politique au sens arendtien de l’expression. Et dans ce sillage, il est devenu une espèce d’école pour les autres. Donc à travers ce mouvement national du 14 janvier 2022, il convient de retenir que l’union sacrée des peuples d’Afrique est l’une des solutions pour la reconquête de la dignité du continent à travers des prises de décisions correspondant aux aspirations des populations. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre les récentes rencontres entre les ministres des Affaires étrangères du Mali, de la Guinée Conakry et du Burkina Faso, le 09 février 2023.

Prioriser le bien-être des populations africaines

Aux chefs d’État de la Cédéao et de l’Uemoa, il faut prioriser le bien-être des populations africaines, en adoptant le pari de Blaise Pascal, c’est-à-dire le partenariat gagnant-gagnant lors de la prise des décisions. Face à un peuple uni, il faut dégonfler. Ne badinez jamais avec l’union profonde d’un peuple, au risque de le périr.

À nous Maliens, nous avons en commun le Mali. Une des manières de respecter ce pays est le travail licite. En ce moment capital des étapes de l’histoire de notre pays, nous devons travailler dur dans les théories et dans les faits, en acceptant de changer nos comportements au profit de l’intérêt supérieur du Mali. Sans changement de comportements des dirigeants et des dirigés, ce serait le « Mythe de Sisyphe ».

Abdramane Coulibaly

11 février 2023 0 comments
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Moussa Mara president Yelema
ActuOpinion

[Exclusif] Moussa Mara : « Nous devons tous nous employer à ce que la transition réussisse »

by Fousseni TOGOLA 11 février 2023
written by Fousseni TOGOLA 5 minutes read

L’ex-Premier ministre, Moussa Mara, fondateur du parti « Yéléma, le changement », a accepté d’accorder une interview à l’hebdomadaire Sahel Kunafoni. Dans cet entretien, il est question de gouvernance, de réformes politiques et institutionnelles, de sécurité ainsi que de la relation entre le Mali et ses voisins. M. Mara ne voit pas de problème dans le fédéralisme. Mais il faut des préalables. Il estime aussi que l’avenir de la MINUSMA n’est clair de nos jours.  

Sahel Kunafoni : cela fait plus d’une année que le Mali est gouverné par un régime de transition. Quelle lecture faites-vous de la situation socio -politico-sécuritaire de ce pays du Sahel ?

Moussa Mara : une situation complexe qui a débuté par une rébellion en 2012 ayant causé une instabilité institutionnelle dans un cadre où la médiocrité de la gouvernance avait profondément affaibli l’État et les Institutions. Aujourd’hui, elle est encore plus difficile avec la donne terroriste qui revêt également des aspects insurrectionnels contre l’action des pouvoirs publics avec des impacts significatifs sur la cohésion sociale du pays. Autrement dit le Mali fait face à des crises socio politiques et sécuritaires multiformes et liées les unes aux autres.

Depuis le renouvellement de son mandat en juin 2022, la MINUSMA rencontre des résistances. Quel avenir pour la force onusienne au Mali ?       

La MINUSMA est un instrument de la communauté internationale pour aider le Mali dans la direction qu’il s’est choisie en 2015 en vue de mettre fin à la rébellion et stabiliser le pays sur le plan socio politique. Son sort dépend de ce fait d’abord du Mali et de ses autorités. Que voulons-nous exactement ? Comment voyons-nous la résolution de la crise de rébellion au Nord ? Comment voulons-nous que la communauté internationale nous aide dans cette direction ? La réponse à ces questions n’est pas claire aujourd’hui. À partir de là l’avenir de la MINUSMA ne sera pas clair non plus.

En Afrique de l’Ouest, notamment dans les trois pays (Mali-Guinée-Burkina Faso), qui vivent sous des régimes de transition, on parle de plus en plus de fédéralisme. Serions-nous face au retour des vieux démons des années d’indépendance ?

De quel démon parlez-vous exactement ? Le fédéralisme n’est ni un démon ni un mot tabou. Tous les pays africains souhaitent la réalisation des États unis d’Afrique et le Mali a déjà prévu cela dans sa Constitution, la Guinée également. La difficulté d’évoquer ce sujet en ce moment dans ces trois pays est due au fait que les pouvoirs de transition n’ont pas le temps qu’il faut pour mener ce type de projet. Ce n’est d’ailleurs pas leur vocation. Si vous regardez dans les chartes de transition de chacun des trois pays, vous ne verrez pas dedans que la réalisation de la fédération figure parmi les objectifs.

De toutes les façons, dans le contexte actuel de ces pays africains, que peut apporter ce fédéralisme, si l’on y réussissait ?

L’unité est toujours mieux que la singularité, y compris à l’intérieur de nos pays. Mais il faut être rigoureux quand on veut mener un dossier de ce type. En ce qui concerne le partenariat avec le Burkina Faso par exemple, je me rappelle que le Mali a déjà engagé avec ce pays en 2019 un programme ambitieux de collaboration économique entre la ville de Sikasso et celle de Bobo en y associant d’ailleurs Korogo en Côte d’Ivoire. Qu’est devenu ce projet ? Il faut peut-être commencer par réaliser des actions concrètes de ce type, permettre à nos populations de toucher du doigt les réalités de la coopération avant d’engager des chantiers majeurs comme le fédéralisme entre les deux États.

Au Mali, en vue de créer une réserve opérationnelle concernant la défense du territoire, les autorités transitoires ont instauré le service militaire obligatoire pour tout admis au concours de la fonction publique de l’État et des Collectivités, à travers le SNJ. Quelle pourrait être la portée d’une telle initiative ?

Je suis généralement réservé sur les questions d’armée de masse, d’armée de réserve au moment où nos forces armées elles-mêmes manquent d’effectifs, de formations et d’équipements. Moi je préfère des armées aguerries, professionnelles, équipées à suffisances et opérationnelles. On devrait orienter nos moyens sur cela et penser aux types de menaces auxquelles nous faisons ou nous serons susceptibles de faire face. Ces menaces ne nécessitent pas des armées de masse avec des réserves civiles, mais des troupes très aguerries, capables de s’adapter à différentes situations, des forces spéciales précises et mobiles…

En déplacement au Mali, la semaine dernière, le Premier ministre burkinabè a déclaré que le président malien de la transition est un « héros de l’Afrique ». Le Mali serait-il en train de retrouver sa renommée des années d’indépendance ?

Ce serait tant mieux si les décideurs maliens sont soutenus et pris en exemple en dehors du Mali. Cela est un motif légitime de fierté.

Depuis l’arrivée des autorités actuelle au pouvoir, quel bilan retenir en matière de refondation et de réformes politiques et institutionnelles ?

Il est tôt pour faire un bilan. Nous devons tous nous employer à ce que la transition réussisse et donc que tous les chantiers de la transition soient menés à bien. Il y a quelques réalisations qui sont à mettre en lumière : la rédaction en cours du texte constitutionnel après la publication d’un premier jet, l’adoption du code électoral, le travail sur la dépolitisation de l’administration, quelques initiatives en matière de lutte contre la corruption même si des efforts sont à poursuivre, l’entrée en fonction de l’autorité indépendante de gestion des élections même si des retards importants existent sur le chronogramme.

On peut mieux faire, nous devons tous nous employer à cela.

Des rumeurs circulent sur une possible candidature du Colonel Goïta aux prochaines élections présidentielles. Pensez-vous que cela puisse être possible ?

Tout est possible en politique, mais nous sommes encore loin de ces moments. Selon les textes de la transition, cela n’est pas envisageable que je sache. Pour l’instant, nous devons surtout travailler tous ensemble à ce que les tâches de la transition soient menées à bien. C’est cela l’intérêt du pays.

Propos recueillis par F. Togola

11 février 2023 0 comments
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Ibrahim Harane Diallo
ActuPolitique

Ibrahima H Diallo : « Le politique n’a pas sa raison d’être s’il ne tient pas compte du bonheur du peuple  »

by Mohamed Camara 10 février 2023
written by Mohamed Camara 6 minutes read

Le 14 janvier 2022, plus de deux millions de Maliens se sont déversés dans les rues, à Bamako et dans les capitales régionales pour contester les sanctions de la CEDEAO, qualifiées « injustes », « illégales » et « inhumaines », contre le Mali. Un embargo infligé après un bras de fer sérieusement tendu entre le Mali et l’organisation sous-régionale autour du délai de la transition.

Pour magnifier cette date de la grande mobilisation du peuple malien, le gouvernement de la transition a institué le 14 janvier comme « Journée nationale de la souveraineté retrouvée », attachée désormais à trois principes essentiels pilotant les autorités de la transition dans l’orientation de l’action publique. À savoir : le respect de la souveraineté du Mali, le respect des choix stratégiques et des choix de partenaires opérés par le Mali et la prise en compte des intérêts vitaux du Peuple malien dans les décisions prises.

Pour mieux élucider les Maliens sur ces trois principes essentiels qui définissent désormais la gestion de l’action publique au Mali, nous avons eu un entretien avec Ibrahima Harane Diallo, journaliste, politologue, chercheur à l’Observatoire sur la prévention et la gestion des crises et conflits au Sahel (Sahelian peace study center) et chercheur associé à Timbuktu Institut.        

Sahel Kunafoni : comment comprenez-vous la souveraineté ?

Ibrahima H Diallo : la souveraineté est une expression juridique, qui suppose que l’autorité politique d’un État ne relève pas d’un autre sur le plan interne et d’un pouvoir sur le plan international dans la prise de ses décisions, dans la gestion de son territoire. Cette expression a été très populaire en Afrique, notamment en Afrique, au sud du Sahara. N’oublions pas que l’Afrique a été un continent sous la domination occidentale, notamment européenne (France, Angleterre, Italie et Espagne) en moindre mesure.

Pour le cas du Mali, cela suppose que l’État est désormais en mesure de prendre ses propres décisions sans être contraint par un quelconque pouvoir à l’interne. Sur le plan international, il ne soumet ses décisions prises à l’appréciation d’aucun pouvoir extérieur, dans la gestion de son territoire.             

Une simple mobilisation contre les sanctions de l’organisation sous-régionale peut-elle être à l’origine d’une quelconque souveraineté retrouvée ?

Non, je ne pense pas que la mobilisation en tant que telle puisse être à l’origine d’une souveraineté retrouvée. Avant le 14 janvier 2022, le Mali était souverain. Car le pouvoir qui était là avant la transition, le régime de feu Ibrahim Boubacar Kéïta (IBK), n’était pas soumis à un pouvoir interne ou international dans la prise de ses décisions.

Il faut faire la différence entre la collaboration et la soumission. Il y’avait des liens diplomatiques de coopération internationale, soit bilatérale ou multilatérale. Bilatérale, si c’est entre deux États ; multilatérale, si c’est entre plusieurs États, ou au sein d’un organisme régional, sous-régional ou international, comme le cas des Nations Unies.

Toutefois, il convient de noter que cette mobilisation a été une bonne chose. Elle a été une occasion pour les Maliens, dans leur grande majorité, de témoigner leur soutien au pouvoir en place. Généralement, durant les périodes difficiles de l’existence d’une nation, les populations font cette expression de soutien. À ce titre, la journée du 14 janvier a été une journée historique parce qu’elle a permis au peuple malien de s’exprimer librement en termes de soutien ou pas à la transition.

Étant aujourd’hui dans un monde très globalisé et en pleine mutation, pouvons-nous imposer aux autres le respect de sa souveraineté vis-à-vis ?

Bien sûr qu’on peut le faire dans un système globalisé. En se référant à la définition de l’expression, on se rend compte qu’il est bien possible d’imposer le respect de sa souveraineté aux autres. Dans le cadre du système international globalisé, l’État peut accepter librement de laisser une partie de sa souveraineté au profit d’une valeur hautement supérieure et qui intéresse l’ensemble des États au sein du système. Cette volonté délibérée par l’État de laisser une partie de sa souveraineté ne peut pas être analysée comme étant une perte de cette souveraineté ou une difficulté à imposer quoi que ce soit.

On peut décider de délaisser une souveraineté au profit d’un intérêt collectif, comme c’est le cas dans la constitution malienne du 25 février 1992. Dans cette loi fondamentale, le Mali est prêt à perdre une partie de sa souveraineté au profit du panafricanisme.

Comment analysez-vous les trois principes essentiels qui guident les autorités de la transition dans l’orientation de l’action publique ?

J’ai beaucoup apprécié ces trois décisions à savoir, la souveraineté du pays, les intérêts stratégiques de l’État, les intérêts vitaux de la population. C’est vraiment des principes assez importants. Tout État sérieux doit être gouverné sur la base de ces principes parce que le politique n’a pas sa raison d’être s’il ne tient pas compte du bonheur du peuple. Donc le respect des choix stratégiques et des intérêts vitaux des Maliens s’inscrit dans cette logique. Ces principes sont à encourager et à saluer. Après ce pouvoir transitoire, les régimes à venir doivent normalement travailler avec ces principes.

Selon vous les choix stratégiques et les choix de partenaires du Mali étaient-ils remis en cause ou influencés par une force extérieure ?

Je ne pense pas que ce point ait été remis en cause dans le passé. Le précédent régime avait des principes qui régissaient des relations internationales. Il avait coopéré avec les États voisins, avec les pays étrangers, comme la France à travers l’opération Serval, ensuite Barkhane. Il a également coopéré avec les Américains, les opérations militaires dans le nord.

Ces principes n’étaient pas influencés dans une très grande mesure. Mais dans les détails, certains peuvent voir que ces principes avaient été remis en cause. La présence des forces onusiennes et de la force française sur le territoire malien aurait été un obstacle aux prises de décision des autorités, à l’époque, pour aller, seul, faire des opérations sans au préalable recevoir l’ordre de l’équipe qui avait la gestion du système aérien. Dans les détails, il y’avait fréquemment ce genre de situation dans le cadre militaire que beaucoup peuvent concevoir comme une influence sur nos choix stratégiques. Mais je trouve que c’était une volonté délibérée de coopération de ce régime.

Propos recueillis et retranscrits par Mohamed Camara 

10 février 2023 0 comments
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complexe sportif Mohammed VI
ActuSport

Coupe du monde des clubs: le Réal Madrid rejoint  Al Hilal en finale

by Sahel Tribune 9 février 2023
written by Sahel Tribune 1 minutes read

C’est sur le large score de 4 buts à 1 que les hommes de Carlo Ancelotti se sont imposés face à El Ahly d’Égypte dans le match comptant pour la deuxième demi finale de la coupe du monde des clubs.

Cette victoire des Merengues leur ouvre la porte de la finale.

Cette large victoire a mis du temps à se dessiner. Il a fallu attendre la 4ème minute, sur une perte de balle de l’international malien, Aliou Dieng pour voir Vinucius Junior ouvrir le score.

Si le premier but a mis du temps à venir, ce ne fut pas le cas du second. Une minute après le retour des vestiaires, Valverde se joue de la défense égyptienne pour inscrire le deuxième but des siens.

Soutenu par le public marocain, les Egyptiens parviennent à recoller au score sur un penalty concédé par Eduardo Camavinga et transformé par Aly Maaloul à la 64ème minute de jeu.

Le penalty de Lucas Modriç qui a été stoppé par le portier de El Ahly n’a pas découragé les joueurs du Réal qui ont inscrit un 3ème but à la 90ème minute sur une action de classe de Rodrygo.

Les 8 minutes d’arrêt de jeu ont été une occasion pour les rentrants de s’illustrer. Le jeune Sergio Arribas d’alourdir le score portant le score à 4 buts à un.

Le samedi prochain, à la première heure, El Ahly jouera contre Flamengo pour la troisième place et le Réal de Madrid lui affrontera El Hilal d’Arabie Saoudite.

MSD

9 février 2023 0 comments
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Maison de réfugiés dans un camp de la région de Mopti
ActuSécurité

Niger : huit réfugiés maliens tués dans une attaque

by Sahel Tribune 9 février 2023
written by Sahel Tribune 1 minutes read

Le 1er février 2023, dans le département de Tillia, dans la région Tahoua, des « individus lourdement armés circulant sur une dizaine de motos sont entrés dans le hameau où ils ont ouvert le feu sur la population constituée principalement d’éleveurs maliens qui ont fui les violences dans leur pays », a indiqué l’Agence des Nations unies pour les réfugiés, hier, mercredi 8 février 2023, dans un communiqué.

Communiqué de presse : #Niger – "Le HCR condamne l’attaque perpétrée contre un campement de réfugiés maliens dans le département de Tillia (Région de #Tahoua)" pic.twitter.com/Aam1Zlge3h

— UNHCR Niger (@UNHCRNiger) February 8, 2023

Le bilan de cette attaque fait état de neuf (9) personnes tuées, dont huit (8) réfugiés maliens et un ressortissant nigérien. Le HCR souligne également qu’un réfugié malien a été blessé et que six autres personnes sont toujours portées disparues.

Le Niger compte près de 110 000 Maliens réfugiés.  

La rédaction

9 février 2023 0 comments
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Dr. Isabelle Defourny
ActuSécurité

Burkina Faso : Médecin sans Frontière suspend ses activités dans la Boucle de Mouhoum.

by Mohamed Camara 9 février 2023
written by Mohamed Camara 1 minutes read

Suite à « l’assassinat brutal et délibéré », de deux de ses agents, le MSF a annoncé la suspension de ses activités médicales dans la région de la Boucle de Mouhoum, au nord-ouest de Burkina Faso.

Ce mercredi 08 février, dans la matinée, selon le communiqué du MSF, un de ses véhicules « clairement identifiés » et « transportant une équipe médicale de quatre personnes », sur la route de Dedougou et Tougan a été la cible d’un assaut des « hommes armés ».

Le Médecin sans frontière estime qu’il s’agit « d’une attaque délibérée et intentionnelle sur une équipe humanitaire clairement identifiée, dans le cadre de sa mission médicale », explique le Dr Isabelle Defourny, présidente de MSF, élue à la présidence de Médecins Sans Frontières France, en juin 2022.

Les hommes armés ont directement tiré sur l’équipage. Deux agents ont succombé et les deux autres ont pris la fuite. « Les deux victimes, de nationalité burkinabè, étaient employées par MSF en tant que chauffeur, depuis juillet 2021, et superviseur logistique, depuis juin 2020. Ils étaient âgés de 39 et 34 ans, respectivement », précise le MSF dans son le communiqué.

À la suite de cet événement tragique, le MSF a décidé de suspendre ses activités dans la région de la Boucle de Mouhoum.

À rappeler que le Burkina Faso est plongé dans une crise sécuritaire, politique et humanitaire qui a entraîné le déplacement massif de près de deux millions de personnes suite aux violences et combats entre les groupes terroristes et les forces gouvernementales.

Mohamed Camara

9 février 2023 0 comments
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complexe sportif Mohammed VI du Maroc
ActuSport

Complexe sportif Mohammed VI : Les journalistes du continent émerveillés

by Sahel Tribune 8 février 2023
written by Sahel Tribune 3 minutes read

Plus de 120 journalistes venus d’une trentaine de pays ont visité le complexe sportif Mohammed VI de Salé en marge de la coupe du monde des clubs qui se joue pour la 3ème fois dans le royaume.

La visite de ce complexe sportif de « dernière génération », a été conduite par Omar Khyari, conseillé du président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF).

Au bout de deux heures de visite, les journalistes ont eu un aperçu de ce joyaux architectural construit sur 29,3 hectares à Salé dans la forêt de Maämoura. Situé à 120 Km de Casablanca, ce complexe sportif a été inauguré en décembre 2019 par le Roi Mohammed VI.

¨Pour les équipes nationales africaines qui souhaitent se concentrer

D’un coût de réalisation de 630 millions de dirhams, le complexe est doté d’infrastructures et d’équipements de pointe, conformes aux standards de la FIFA. « Lors de sa visite dans ce complexe, Gianni Infantino, le président de la FIFA a affirmé que c’est une infrastructure dans le top 3 mondial », a dit Omar Khyari.

Ce complexe selon Omar Khyari est le fruit d’un travail de développement entamé en 2014.

Avec ses 4 terrains de football en gazon naturel, trois terrains en gazon synthétique, un terrain couvert, un terrain hybride, une salle de réathlétisation qui peut accueillir des matchs de Futsal, une piscine olympique, deux courts de tennis et un terrain de Beach soccer, le complexe en plus d’accueillir l’équipe nationale A du Maroc, les équipes U23 et 17, est aussi mis à la disposition « des équipes nationales africaines qui souhaitent venir se concentrer ici au Maroc ».

complexe sportif Mohammed VI
Des journalistes du continent africain visite le complexe sportif Mohammed VI. MSD

Selon Omar Khyari, le stade reçoit les équipes nationales dont les pays n’ont pas reçu d’homologation de la CAF. Cette solidarité de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) fait échos à la conviction de son président, Faouzi Lekjâa selon qui « la réussite du football africain ne peut pas être individuelle, elle ne sera que collective ».

Accueillir la CAN 2025

Venu du Mali, Boubacar Thiéro, journaliste au quotidien national l’Essor se dit émerveillé par la qualité de l’infrastructure et les commodités qu’il offre à ses pensionnaires. « Après avoir visité ce complexe, je peux dire que l’exploit du Maroc à la dernière coupe du monde au Qatar n’était pas un hasard.  C’est le fruit d’un travail professionnel et sérieux de la part de la fédération royale marocaine de football. Je pense que c’et exemple doit inspirer », dit-il.

Après avoir été accueilli par Walid Regragui, le sélectionneur des lions de l’Atlas et visiter le complexe sportif Mohammed VI, Zié Diarra du Burkina Faso estime que le Maroc est prêt pour accueilli toutes les compétitions aussi bien continentales qu’internationale à commencer par la Coupe d’Afrique des Nations 2025.

Avec ses 200 pelouses synthétiques aux normes et une vingtaine de stades avec des pelouses naturelles le Maroc, de l’avis des journalistes du continent, ce complexe sportif mérite d’accueillir la CAN  2025.

MSD

8 février 2023 0 comments
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