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Prestation de serment
Actu

Cour suprême : nouveaux magistrats déterminés à se comporter en « dignes et honnêtes » magistrats

by Chiencoro 19 août 2023
written by Chiencoro 2 minutes read

Le président, les avocats, les conseillers et les rapporteurs généraux, nommés à la Cour Suprême de Bamako, ont prêté serment, le 18 aout 2023, au siège de l’institution judiciaire à Banankabougou Bollé, en commune VI du district de Bamako. C’était en présence du président de la transition, le colonel Assimi Goita, Président du Conseil supérieur de la magistrature. 

Il était presque 12 h quand les nouveaux membres de la Cour suprême ont prêté serment devant le président du Conseil supérieur de la magistrature. Un serment qui fait désormais peser sur ces nouveaux hauts fonctionnaires de l’État des « charges titanesques », selon le bâtonnier de l’ordre des avocats. « Ce serment que vous [venez de] prêter renferme la quintessence de votre profession », a affirmé le bâtonnier. 

Cette nouvelle fonction ne va pas sans certaines exigences, notamment des pressions sur sa personne, en termes de comportement et de devoir bien accompli. Dans son réquisitoire, le procureur général de cette institution judiciaire n’est pas allé par mille chemins. Tout en rappelant que le grand mérite de chacun des magistrats nommés à cette haute institution judiciaire, il a précisé que le processus de nomination a obéi aux exigences du Mali Koura. 

« La probité est l’antithèse de la corruption »

Le procureur général a donc profité pour prodiguer quelques conseils aux nouveaux Magistrats. Il les a surtout invités au respect du devoir et de la règlementation en vigueur dans le domaine de la magistrature. Pour ce faire, ces hommes en robes doivent se conduire en « digne et honnête Magistrats », comme ils se sont engagés dans leur serment. 

Le procureur général a également saisi cette occasion pour rappeler les magistrats au respect des textes qui régissent leur profession. Il s’est toutefois réjoui de la prise de certaines mesures par l’État afin de mettre fin à certaines pratiques qui n’honorent point, selon lui, cette noble profession. Les magistrats doivent, selon ses précisions, donner le bon exemple en ce qui concerne le respect des lois du pays. 

Pour sa part, le bâtonnier de l’ordre des Avocats a exhorté les Magistrats au respect de la parole donnée. Aussi l’intégrité, la probité, la délicatesse, la loyauté doivent être des principes de conduite. S’agissant de la lutte acharnée des autorités maliennes contre la corruption, il a invité les magistrats du pays à emprunter la même voie. « La probité est l’antithèse de la corruption », a-t-il fait comprendre. 

Après tous ces conseils et appels au devoir, les récipiendaires ont prêté serment devant le président de la transition. Une occasion pour le colonel Assimi Goita de souligner la place prépondérante de la justice dans l’œuvre de refondation de l’État.  

Chiencoro Diarra 

19 août 2023 0 comments
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Mohamed Bazoum
ActuSécurité

Niger : perquisitions chez des proches du président Bazoum

by Sahel Tribune 19 août 2023
written by Sahel Tribune 1 minutes read

Dans la nuit du 17 au 18 aout 2023, les domiciles de plusieurs personnalités proches du président déchu Mohamed Bazoum ont été « perquisitionnés » par les autorités actuelles du Niger, rapportent plusieurs médias internationaux.

Au moins une dizaine de domiciles de membres du gouvernement du président Bazoum et de son entourage auraient été perquisitionnés au cours de ces opérations dans la nuit du 17 au 18 aout dernier. Comme celui de son ministre des Affaires étrangères, Hassoumi Massaoudou, la maison des députés Kalla Moutari et Kalla Ankourao, respectivement premier vice-président de l’Assemblée nationale et haut dirigeant du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (parti de Mohamed Bazoum) auraient fait l’objet de cette opération de perquisition.

Les mêmes opérations auraient également été effectuées aux « domiciles de membres de l’entourage » de M. Bazoum, notamment Foumakoye Gado, son haut représentant, Issa Galmai et Daouda Takoubakoye, respectivement chef de cabinet et directeur adjoint du cabinet du chef de l’État, ainsi que le « domicile du garde du corps du président ». Des documents et des biens auraient été saisis lors de ces perquisitions, allant « des téléphones, montres et bijoux, ordinateurs portables et tablettes, argent » ainsi que des « véhicules ».

Le Niger est dirigé depuis le 26 juillet 2023, par un régime militaire suite au coup de force contre Mohamed Bazoum.

La Rédaction

19 août 2023 0 comments
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conseil-national-jeunesse-mali-cnj
ActuSociété

Crise interne au CNJ-Mali : les autorités décident de fermer son quartier général et de suspendre l’ensemble de ses activités

by Bakary FOMBA 19 août 2023
written by Bakary FOMBA 3 minutes read

Dans une note du jeudi 17 aout 2023, adressée au président du Conseil National de la Jeunesse du Mali (CNJ-Mali), le directeur national de la Jeunesse annonce la fermeture du siège du CNJ-Mali et la suspension de toutes ses activités à compter du vendredi 18 aout.

Après une longue période de crise au sein du Conseil National de la Jeunesse du Mali (CNJ-Mali), les autorités de la transition ont pris la décision, le jeudi dernier, de fermer le siège de l’instance de la jeunesse malienne et de suspendre toutes ses activités à travers le pays. Cette décision intervient après plusieurs mois de désaccord persistant entre certains responsables de la faitière de la jeunesse malienne. Il s’agit ainsi de trouver une solution durable et irréversible à cette crise qui risque de créer des tensions sociopolitiques dans le pays.

La commission nationale de renouvèlement des instances

Tout en soulignant la nécessité de coordonner leurs actions, le directeur national de la Jeunesse déplore dans sa note la « non-application des résolutions de la Conférence nationale extraordinaire unitaire du CNJ-Mali tenue à Bougouni, le 1er mai 2021 », pour éviter toutes confrontations entre clans. Aussi, déplore-t-on, malgré l’appel du président de la transition sur les actions prioritaires contribuant à l’émancipation et la participation des jeunes au développement socioéconomique et politique du pays, ces projets peinent à se concrétiser en raison de la division interne de la faitière de la jeunesse malienne. Toute chose qui pourrait entraver certaines actions des autorités de la transition.

Suite à cette décision, de la direction nationale de la jeunesse, le Comité exécutif du CNJ-Mali, a produit un communiqué ce samedi 19 aout dans lequel l’instance affiche son mécontentement.

Tout en qualifiant cette décision des autorités maliennes « d’injuste », le CE CNJ souligne que cette lettre est intervenue suite à sa réunion qui s’est tenue le 17 aout 2023 à son siège, lors de laquelle une commission nationale de renouvèlement des instances a été mise en place et l’organisation du 7e congrès du CNJ-Mali discutée. Ce, conformément aux résolutions de la réunion extraordinaire du CE CNJ élargi aux présidents des conseils régionaux de jeunesse du 25 novembre 2022 au carrefour des jeunes de Bamako soutenue par le ministère de la Jeunesse et des Sports, chargé de l’Instruction civique et de la Construction citoyenne. Il s’agit d’un moment où le CE CNJ est « résolument engagé dans l’unification de la jeunesse, l’adoption des nouveaux textes et l’organisation du 7e congrès ordinaire de la structure », souligne-t-on dans son communiqué.

Les dispositions règlementaires

Le CE CNJ rappelle tout de même que le Conseil National de la Jeunesse du Mali est lié au ministère en charge de la jeunesse à travers la direction nationale de la Jeunesse par une convention de partenariat qui stipule dans son article 6 : « La mise en place de la présente convention de partenariat ne doit porter atteinte ni au bon fonctionnement des services de l’État et des collectivités territoriales ni au statut associatif du Conseil National de la Jeunesse. » Et l’article 10 précise : « il peut être mis fin à la présente convention par l’une quelconque des parties à charge pour celle-ci d’aviser l’autre partie trois mois à l’avance par écrit ».

Au regard de ces dispositions et la nature juridique du CNJ, le CE CNJ affirme que la direction nationale de la jeunesse « n’a aucun droit de prendre une décision de fermeture du siège et de la cessation des activités du CNJ avec effet immédiat ».

Par ailleurs, cette situation reste tributaire de la nomination d’Amadou Diallo, au Conseil national de la transition (CNT). Celui-ci était jusque-là le président du CNJ-Mali.

Bakary Fomba

19 août 2023 0 comments
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GSSP
ActuSport

Mali : les intérêts sportifs du président de la transition

by Fousseni TOGOLA 19 août 2023
written by Fousseni TOGOLA 2 minutes read

Le président malien de la transition, le colonel Assimi Goita, ne cesse de prouver tout son intérêt pour le sport, à travers des actes concrets qui visent à inciter à cette pratique. Le 17 aout dernier, il a doté la salle de sport du GSSP en équipements modernes. Le lendemain, vendredi, l’édition 2023 de la super coupe Assimi Goita a été lancée à Koulikoro. 

La salle de sport du camp du groupement spécial de sécurité présidentielle (GSSP) vient d’être dotée en équipements de dernière génération. Des altères de musculation de différents modèles et différentes dimensions, des tapis de course, des vélos elliptiques, des machines de musculation multifonction, des machines à poulie, des barres fixes pour les tractions ainsi que des ressorts de musculation et de résistance. Voilà entre autres les nouveaux outils de sport à la disposition des soldats de la sécurité présidentielle. 

Des pharmacies d’urgence et du matériel de cardio 

Tout en se réjouissant de la mise à disposition de ce joyau, le Lieutenant-Colonel Alfousseny Ba, Commandant du GSSP, a indiqué que cette nouvelle salle permettra de « renforcer les capacités physiques et sportives du personnel du GSSP dans le but de lui permettre de réaliser efficacement sa mission régalienne », a rapporté la Dirpa. 

Selon ses précisions, cette salle acquise grâce aux efforts inestimables du président de la transition, le Colonel Assimi Goïta répond aux normes d’hygiène et de sécurité ainsi qu’aux bonnes pratiques reconnues dans le cadre de l’aménagement des salles de sport « qui doivent désormais contenir des pharmacies d’urgence et du matériel de cardio pour prévenir et soulager les risques liés à la pratique sportive », rapporte notre source.

3e édition de la coupe Assimi Goita 

Le représentant du président de la transition, le général de brigade Mamadou Laurent Mariko, chef d’État-major particulier du colonel Goita, se dit persuadé que les exercices physiques qui seront pratiqués dans cette salle permettront d’améliorer l’endurance, la résistance, la force, la vitesse et la souplesse des éléments du groupement de la sécurité présidentielle. 

Un complexe sportif, avec un terrain de football et une piscine pourraient également y ouvrir ses portes, dans les prochains jours, en vue de renforcer les aptitudes de natation chez les soldats du GSSP.

Tous ceux-ci dénotent de l’importance qu’accorde le président de la transition au sport. Ce qui peut se voir notamment à travers la tenue chaque année, depuis son investiture, le 7 juin 2021, de la super coupe Assimi Goita, dont l’édition 2023 a été lancée le 18 aout dernier à Koulikoro, dans la 2e région administrative du pays. Il se jouera jusqu’au 16 septembre prochain

F. Togola 

19 août 2023 0 comments
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Force militaire de la CEDEAO
ActuPolitique

Niger : la force de la Cédéao « prête à intervenir »

by Bakary FOMBA 19 août 2023
written by Bakary FOMBA 2 minutes read

À l’issue de la deuxième journée de réunion des chefs d’état-major généraux de la Cédéao, le vendredi 18 aout 2023, au Ghana, l’Organisation ouest-africaine a affirmé que sa force militaire, mise sur pied pour déloger les autorités militaires au Niger, est désormais « prête à intervenir » dans le pays dès que « l’ordre sera donné ».

Réunis à Accra les 17 et 18 aout dernier, les chefs d’état-major généraux de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) ont peaufiné « la logistique et la stratégie » de la force d’intervention de l’Organisation. « Nous sommes prêts à intervenir dès que l’ordre sera donné », a déclaré à la clôture de la réunion, Abdel Fatau Musah, commissaire à la paix et à la sécurité de la Cédéao. Ils se sont ainsi convenu sur la date, qui ne sera pas annoncée, a-t-il souligné.

Tout en précisant que l’intervention au Niger sera de courte durée, le commissaire à la paix et à la sécurité de l’institution sous-régionale n’a pas dévoilé le nombre de soldats qui seraient déployés à cet effet, encore moins d’autres détails « stratégiques », rapporte Deutsche Welle, une radio allemande.

Comme à son habitude depuis le début de cette crise, le 26 juillet dernier, la Cédéao semble avoir manié vendredi la carotte et le bâton. Tout en assurant que sa force d’intervention était fin prête à entrer au Niger, l’Organisation ouest-africaine a réaffirmé que « l’option diplomatique » restait toujours « sur la table » et qu’elle laissait la « porte ouverte à un départ négocié » des militaires au pouvoir depuis près d’un mois. Dans cette dynamique, l’Organisation a annoncé une « possible » mission diplomatique ce samedi au Niger.

Cette idée d’une intervention armée au Niger a suscité une vive opposition dans plusieurs pays de la région ouest-africaine, notamment au Nigéria, poids lourd de l’organisation.

Bakary Fomba

19 août 2023 0 comments
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Minusma
ActuSécurité

Mali: la Minusma annonce la fermeture de ses bases à Ber et à Goudam

by Mohamed Camara 18 août 2023
written by Mohamed Camara 4 minutes read

Dans un communiqué rendu public le 17 aout 2023, la mission onusienne a informé de la fermeture officielle de certaines de ses bases au nord du Mali, conformément au chronogramme de son retrait. Il s’agit notamment des emprises de Ber et de Goudam, dans la région de Tombouctou, et d’autres grandes localité qui s’en suivront d’ici la fin du mois. Tout en détaillant les projets qu’elle a mis en œuvre dans la 5ème région administrative du Mali, la Minusma a fait l’état sur son positionnement à Ogossagou.

Le Conseil de Sécurité a acté la demande de retrait de la Minusma par les autorités maliennes fin juin dernier, dans sa résolution 2690. Dans le cadre de ce retrait annoncé, les casques bleus ont informé du transfert officiel de certaines de ses bases au nord du pays.

« Les camps de Ber et de Goudam, dans la région de Tombouctou, ont été fermés et formellement transférés à l’Etat malien, à travers ses représentants civils désignés, portant ainsi à trois le nombre de sites que la mission a évacué », explique-t-elle dans sa note écrite. 

Elle rappelle également de la fermeture de la base opérationnelle temporaire d’Ogossagou, dans la région de Bandiagara, le 4 aout dernier. Selon la MINUSMA, le camp de Ber était occupée par 200 militaires burkinabés (casques bleus), tandis qu’une compagnie ivoirienne et une unité de police de 140 agents policiers du Bangladesh étaient réfugiées dans la base de Goudam. 

Des incidents 

Dans cette note informative, la mission onusienne assure que le transfert de ces sites dans la région de Tombouctou ont été fait de façon officielle. Elle indique que tous les documents sur l’état des sites, la description des infrastructures ainsi que le respect par les Nations-Unies de leur obligation environnementale, ont été restitués au gouverneur de la région de Tombouctou. Ce qui symbolise la fin de la mission dans ces zones septentrionale du pays. 

La mission onusienne au Mali à donné des précisions sur l’anticipation du retrait des casques bleus. Initialement prévu pour le 15 aout, le retrait des casques bleus à Ber a été avancé au 13 aout, en raison de la dégradation rapide de la situation sécuritaire. Une situation qui menacerait les casques bleus déployés dans cette zone. Elle informe que le convoi de la mission qui a mis « deux jours pour couvrir les 57 km séparant Ber à Tombouctou » a été la cible d’attaques à « deux reprises » le 13 aout dernier. Quatre casques bleus ont été blessés. 

Des réalisations de la mission onusienne 

La base de la Minusma a été officiellement mis en place à Goundam en 2014. Pour la mission, l’une de ses devoirs était de contribuer à la protection de la population civile à travers des patrouilles et d’autres opérations de sécurisation, conduite en coordination avec l’armée malienne. Selon elle, ces opérations ont permis dans certains cas, d’assurer une « présence dissuasive » contre les groupes armés. Ce qui a créé des conditions de retour de certains déplacés et de réfugiés, aussi, à la tenue des foires hebdomadaires, qui est « essentielles à l’économie locale ainsi qu’à l’accès aux services sociaux de bases ». 

La Minusma dit avoir mis en œuvre 85 projets à impact rapide dans les cercle de Diré, Niafunké et Goundam. La somme globale injectée dans ces initiatives s’élève à  1,4 milliard de FCFA. Elle annonce aussi la réalisation de 20 autres projets dans ces cercles à travers le « fond fiduciaire » de la Minusma, pour un montant de 2,3 milliards de FCFA. Notamment, dans les domaines des infrastructures, les services sociaux de bases, l’agriculture, la restauration de l’autorité de l’Etat ainsi que le renforcement des capacités. 

Contrairement à Goundam, le séjour de la mission onusienne à Ber a été marqué par un contexte sécuritaire difficile. Selon la note d’information, la mission a été la cible à de multiples attaques terroriste tant contre sa base que ses patrouilles et convois. Elle chiffre six attaques ciblant ses convois de ravitaillements au cours des six premiers mois de l’année 2023. Mais en dépit de ces états de faits, elle assure d’appuyer les efforts de stabilisation dans la commune de Ber, dont elle a financé 15 projets touchant divers domaines pour un montant de 2,8 milliard de FCFA. 

Mohamed Camara               

18 août 2023 0 comments
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Étudiants Nigériens en France
Éducation

Niger : inquiétude autour du sort des 200 nouveaux étudiants nigériens, admis dans les universités françaises

by Bakary FOMBA 18 août 2023
written by Bakary FOMBA 1 minutes read

Dans un communiqué du jeudi 17 août 2023, le Conseil des Nigériens de France (CONIF) se dit être inquiet et suivre avec attention la situation délicate des 200 nouveaux étudiants nigériens. Il s’agit des étudiants en provenance du Niger et qui sont attendus dans les universités françaises pour la rentrée de septembre 2023.

Suite à leur admission dans les universités françaises, 200 étudiants Nigériens sont attendus en France, pour la rentrée universitaire prochaine. Mais compte tenu de la situation actuelle entre la France et les autorités actuelles du Niger, le sort de ces étudiants semble être plus que jamais menacé. En effet, le consulat de France à Niamey est fermé jusqu’à nouvel ordre depuis le saccage des locaux de l’ambassade de France au Niger, par des manifestants suite au coup de force du 26 juillet dernier contre le régime de Mohamed Bazoum.

« Il est à noter que certains étudiants ont déjà déposé leur demande de visa et attendent toujours la restitution de leur passeport. Les autres n’ont pas encore eu, à ce jour, la possibilité de déposer la demande de visa », déplore le CONIF dans son communiqué.

Par ailleurs, le Conseil des Nigériens de France lance un appel à toutes les autorités compétentes du Niger et de la France afin de trouver une « solution convenable pour ces étudiants qui sont dans l’attente ». Le CONIF demande tout de même aux différentes universités françaises « d’accorder à ces étudiants une dérogation pour une arrivée tardive au vu des circonstances délicates ».

Bakary Fomba

18 août 2023 0 comments
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