Des supplétifs de l’armée burkinabè ont été accusés d’avoir tué 28 personnes à Nouna, à la veille du Nouvel An. Un massacre qui fait craindre un cycle de représailles entre communautés dans ce pays meurtri par la violence djihadiste depuis 2015.
Selon le Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés (CISC), « des civils armés se revendiquant être des volontaires pour la défense de la patrie (VDP) se livre librement à des pillages organisés et à des exactions ciblées sur des populations civiles ».
Le gouvernement a indiqué dans un communiqué l’ouverture d’une enquête afin d’élucider les circonstances du drame et situer toutes les responsabilités.
Les autorités burkinabè de la transition appellent la population au calme en attendant que la lumière soit faite sur ces violences inacceptables.
La rédaction
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