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Ousmane Sonko, Premier ministre, forme son premier gouvernement
Politique

Législatives au Sénégal : le climat s’envenime à cinq jours du vote

by Sahel Tribune 12 novembre 2024
written by Sahel Tribune 4 minutes read

À cinq jours des législatives au Sénégal, les tensions montent autour des appels à la vengeance d’Ousmane Sonko et des accusations d’inégalités en campagne.

Au Sénégal, à cinq jours des législatives anticipées, prévues le 17 novembre 2024, le climat politique s’enflamme alors que le Premier ministre Ousmane Sonko suscite la polémique en appelant ses militants à se « venger » des agressions subies par ses partisans. Sur Facebook, Sonko, chef du parti Pastef, exprime sa frustration face aux incidents violents qu’il impute à des opposants en campagne, particulièrement à la coalition Sam sa Kaddu, dirigée par le maire de Dakar, Barthélémy Dias. Sonko ne se limite pas à dénoncer ces agressions, mais exige que Dias soit interdit de campagne, considérant ces violences comme un droit à la riposte pour ses propres militants.

Cette prise de position du Premier ministre, qui s’appuie sur un appel ouvert à la vengeance, a fait réagir de nombreux acteurs politiques et sociaux. Dans les rangs de l’opposition, l’appel de Sonko est vu comme une incitation dangereuse à la violence. Même au sein de la société civile et du pouvoir, des voix appellent le Premier ministre à faire preuve de retenue. Guy Marius Sagna, candidat pour le Pastef, a exprimé sur les réseaux sociaux son désaccord avec la « vengeance », qualifiant la situation d’« extrêmement grave » tout en appelant le ministère de l’Intérieur à veiller au maintien de l’ordre public.

L’escalade de la violence à cinq jours des élections

La tension déjà palpable dans le pays a atteint un nouveau sommet avec un affrontement lundi entre les partisans du Pastef et ceux de la coalition de Dias, à Saint-Louis. Selon des témoins, ce qui a débuté par des huées et des échanges verbaux entre les deux camps a rapidement dégénéré. Des agents de sécurité de la coalition de Dias auraient sorti des matraques et des couteaux, et les caméras de surveillance ont capté des scènes de violence, dont un coup de couteau porté à un militant du Pastef. D’après une source hospitalière de Saint-Louis, cet incident s’est soldé par trois blessés. Le soir même, la police a arrêté une quarantaine de membres de la sécurité de la coalition Sam sa Kaddu.

Face à cette recrudescence de violence, le ministre de l’Intérieur a réagi en rappelant les mesures de sécurité mises en place pour éviter tout débordement. Un communiqué officiel, publié le 11 novembre, précise qu’une interdiction de port d’armes de toute catégorie est en vigueur depuis le 17 octobre et restera active jusqu’au 17 décembre. Les autorités ont également donné des instructions pour des fouilles systématiques de toute personne ou cortège considéré suspect.

Le débat sur l’utilisation des ressources de l’État en campagne

Les tensions électorales ne se limitent pas aux violences physiques. La question de l’usage des moyens publics pour des fins de campagne revient régulièrement sur le devant de la scène. Le Forum civil, une organisation de la société civile sénégalaise, dénonce ce qu’elle considère comme une inégalité entre candidats, en pointant des cas d’utilisation des ressources de l’État. Par exemple, le ministre de la Santé, également candidat, aurait distribué du matériel médical dans un dispensaire de Podor, ville où il se présente en tête de liste. Selon le Forum Civil, environ 26 % des incidents relevés au cours des dix premiers jours de campagne seraient liés à un usage inapproprié des moyens de l’État.

L’achat de conscience, un fléau récurrent

L’achat de conscience constitue une autre source de préoccupation pour les observateurs. D’après les relevés du Forum Civil, 20 % des incidents signalés au cours de la campagne relèvent de cette pratique, qui nuit à l’équité du processus électoral. Cette problématique est d’autant plus préoccupante qu’elle persiste depuis plusieurs élections, contribuant à alimenter la méfiance envers les institutions électorales et, plus largement, envers le système politique.

Malgré ces tensions, des progrès notables sont soulignés dans les préparatifs électoraux. Les observateurs du Forum Civil saluent notamment le bon fonctionnement des commissions de distribution des cartes d’électeurs, essentielles pour assurer une forte participation citoyenne. Cependant, des centaines de cartes n’ont pas encore été récupérées, un retard qui pourrait affecter le taux de participation lors du scrutin. Ces élections législatives, marquées par de multiples incidents et un climat de défiance, seront donc un test important pour le Sénégal, considéré jusqu’ici comme un exemple de démocratie en Afrique de l’Ouest.

Chiencoro Diarra 

12 novembre 2024 0 comments
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Marcon et Mohammed VI
Politique

Que révèlent les archives coloniales sur les frontières contestées du Maroc ?

by Sahel Tribune 12 novembre 2024
written by Sahel Tribune 5 minutes read

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12 novembre 2024 0 comments
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Une graphique réalisée pour illustrer les édito sur notre site.
Vidéo

Un an après la reprise de Kidal, le Mali face au défi de la paix et de la souveraineté

by Sahel Tribune 12 novembre 2024
written by Sahel Tribune 0 minutes read

Ce 11 novembre, marque le début d’une semaine symbolique pour le Mali, une semaine de commémoration et de réflexion qui culminera le 14 novembre, date anniversaire de la reprise de Kidal par l’armée malienne en 2023. 

12 novembre 2024 0 comments
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Une femme sahélienne portant de l'eau : Photographiée au lever du soleil, portant un seau d'eau sur la tête, le dos droit et le regard fixé sur le chemin, elle symboliserait la résilience et la force de Fatoumata.
Échos d'amourExclusif

Paroles de femmes : ce que signifie être une épouse et une mère dans le Sahel d’aujourd’hui

by Sahel Tribune 12 novembre 2024
written by Sahel Tribune 3 minutes read

Dans ce storytelling, suivez le quotidien de Fatoumata [nom d’emprunt], une femme du Sahel, épouse et mère, qui incarne avec courage et espoir le rôle essentiel des femmes sahéliennes d’aujourd’hui.

Fatoumata se lève bien avant l’aube. Dans la fraîcheur du matin, le ciel encore étoilé veille sur elle tandis qu’elle allume le feu pour préparer le petit déjeuner. Ses enfants, encore endormis, ne savent pas que leur mère a déjà en tête toutes les tâches de la journée. Fatoumata, 32 ans, est épouse, mère de cinq enfants, et l’âme du foyer. Sa vie quotidienne, entre le village et la brousse, est un savant équilibre de travail, de patience, et de tradition.

« Ici, la terre ne donne pas facilement »

Chaque matin, Fatoumata marche des kilomètres pour chercher de l’eau. Elle a appris, comme les femmes avant elle, à porter des seaux pleins d’eau sur sa tête, le dos droit, la démarche assurée. « L’eau, c’est la vie », lui disait sa mère, une phrase qu’elle répète souvent à ses filles quand elles l’accompagnent. Ce geste quotidien, d’apparence simple, incarne pour elle la résilience et la constance, deux qualités qu’elle considère essentielles pour une femme du Sahel.

Être épouse, pour Fatoumata, c’est aussi être une force discrète aux côtés de son mari, Moussa. Ensemble, ils cultivent un petit champ pour nourrir la famille, et parfois, vendre le surplus au marché. « Ici, la terre ne donne pas facilement, il faut de la patience et du courage, et c’est ensemble que nous y arrivons », raconte-t-elle, les yeux brillants de fierté. Quand les récoltes sont maigres, elle le soutient, le rassure, et trouve les mots pour alléger son fardeau. « Nous sommes deux dans cette vie, deux pour affronter les bonnes et les mauvaises saisons. »

« Nous sommes les gardiennes du foyer »

En tant que mère, Fatoumata incarne l’espoir d’une génération en mutation. Elle souhaite que ses filles et fils connaissent un monde plus ouvert, un monde où ils pourront choisir leur voie tout en respectant leurs racines. La journée, elle leur enseigne les gestes du quotidien : moudre le mil, tresser les cheveux de leur petite sœur, aider les aînés à lire et à écrire quand ils reviennent de l’école. « Je veux qu’ils sachent d’où ils viennent, mais qu’ils regardent aussi vers ce qu’ils peuvent devenir », confie-t-elle, ses pensées mêlées d’inquiétude et de fierté.

Fatoumata sait que le rôle de femme au Sahel n’est pas simple. Il impose des sacrifices silencieux, une force qu’elle puise dans les traditions, mais aussi dans la certitude que son rôle est essentiel. « Nous sommes les gardiennes du foyer, de la culture, et du respect », explique-t-elle. À ses yeux, être une femme sahélienne aujourd’hui, c’est savoir prendre soin de sa famille et de sa communauté tout en rêvant d’un futur où ses filles auront aussi le choix d’être qui elles veulent. 

Le soir, quand la nuit tombe et que les enfants dorment enfin, Fatoumata se permet un moment de répit. Elle regarde les étoiles, comme sa mère le faisait, et imagine pour ses enfants un Sahel où la vie pourrait être moins rude, où les filles et les femmes seraient aussi reconnues pour leur contribution inestimable. Car ici, au Sahel, être une femme, c’est porter la vie, la nourrir, et l’inspirer.

Oumarou Fomba 

12 novembre 2024 0 comments
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Changement climatique en Afrique
A la UneEnquêtePlanète

De Rio à Bakou : que reste-t-il de l’espoir climatique depuis le premier rapport du GIEC ?

by Fousseni TOGOLA 12 novembre 2024
written by Fousseni TOGOLA 6 minutes read

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12 novembre 2024 0 comments
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Image: Un graphique réalisé pour illustrer les chroniques du Mardi.
A la UneChroniques

[Chronique] Kidal, un an après – Quand l’État malien reprend son fief comme un navire retrouvé.

by Sahel Tribune 12 novembre 2024
written by Sahel Tribune 5 minutes read

Kidal, ville perdue et retrouvée, semble se dresser, un an après sa reconquête, comme un phare de souveraineté dans les brumes du Nord malien. Le 14 novembre 2023, après des années d’ombre et d’absence de l’État, l’armée malienne hissait à nouveau son drapeau sur cette terre rebelle, défiant vents et marées d’insurrections et de séparatismes. Depuis, le Mali a ressaisi le gouvernail, redirigeant ses efforts pour stabiliser cette région aussi précieuse qu’incontrôlable, véritable carrefour stratégique entre tradition et modernité, passé et avenir.

Une terre de brasiers et de racines profondes

Kidal n’est pas seulement un point sur la carte. Pour l’État malien, c’est une terre où s’entrelacent espoirs de souveraineté et résistances farouches. Depuis des décennies, la ville de Kidal ressemble à un navire échoué aux mains de ceux qui refusent de lever l’ancre de l’indépendance. En 2013, la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) avait transformé cette citadelle saharienne en bastion de ses revendications touarègues, en une enclave où l’autorité centrale n’était qu’un écho lointain.

L’État, après des années d’errance, a repris la barre. En hissant son pavillon sur le sol de Kidal, le Mali ne signe pas une simple victoire militaire. C’est un symbole, une déclaration : l’ère des déchirements et des partitions forcées est révolue. Mais les vents du nord, chargés de l’aridité des querelles anciennes, soufflent encore. Ici, chaque pierre, chaque colline est marquée par des racines profondes, et les revendications d’autonomie y sont aussi ancrées que les dunes dans le désert.

Alliances nouvelles, cap nouveau

Pour affronter les courants contraires, l’État malien a dû trouver des alliés. Si autrefois le Mali naviguait sous les voiles occidentales de la MINUSMA et de la présence française, aujourd’hui le cap est différent. Le partenariat avec la Russie, concrétisé par un groupe de formateurs, n’est pas un simple changement de pavillon. C’est un choix stratégique qui marque le désir d’un État décidé à choisir son propre cap, à manier sa propre boussole, et à défier les avis de tempête.

Grâce à cet appui, l’armée malienne s’est dotée d’outils modernes : drones, avions de combat, radars de dernière génération. Ces équipements, comme des ancres jetées dans les eaux troublées, stabilisent les opérations dans une région où chaque grain de sable peut cacher un péril. Cette reconquête de Kidal, appuyée par la Russie et d’autres partenaires comme la Turquie et la Chine ainsi les partenaires de l’Alliance des États du sahel (AES), est aussi un message : le Mali ne sera plus un bateau à la dérive, ballotté par les intérêts des puissances étrangères.

Le repli de la CMA : tempête apaisée ou nuage menaçant ?

L’entrée de l’armée dans Kidal a contraint la CMA à abandonner le terrain, annonçant une « stratégie de repli ». Mais loin d’être une reddition, ce départ est un retrait tactique, comme un bateau fantôme glissant sous la lune, prêt à revenir dès que l’orage se calmera. Le repli de la CMA est un aveu de faiblesse, certes, mais aussi une promesse voilée de tempête. Car pour ceux qui ont tenu ce fief pendant tant d’années, l’abandon de Kidal n’est qu’une étape dans une guerre qui se déplace, mais ne s’arrête jamais vraiment.

L’État malien a conscience de ce défi. Pour éviter que cette victoire ne se transforme en mirage, il doit sécuriser chaque recoin de la ville, ancrer la stabilité dans les quartiers, les ruelles, et au-delà des murs de Kidal. Cette bataille-là ne se gagne pas seulement avec des fusils et des accords, mais avec une présence réelle, humaine, qui assure aux Kidalois que l’État n’est plus un lointain vaisseau, mais bien le capitaine à bord.

L’équipage malien face à un horizon incertain

Avec Kidal sous pavillon malien, l’État doit maintenant faire preuve de détermination et de patience. Car au-delà de la mer calme des apparences, les fonds marins cachent des récifs de tensions communautaires et d’incompréhensions anciennes. La population de Kidal a longtemps été privée d’un lien solide avec l’État. Pour elle, le retour de l’autorité malienne pourrait être perçu comme une marée inconnue, pleine de promesses, mais aussi de craintes.

Cette reconquête n’aura de sens que si l’État parvient à rassurer et à intégrer les populations locales, à respecter les traditions tout en posant les bases d’un avenir commun. Pour naviguer sans heurter les récifs de l’isolement et des revendications locales, l’État devra démontrer que son retour n’est pas une invasion, mais une invitation à un destin partagé. La victoire militaire est un signal fort, mais sans une stabilité politique et sociale, Kidal restera une île de tensions au milieu du désert.

Vers un océan de paix ?

En reprenant Kidal, le Mali a hissé ses couleurs au sommet d’un bastion stratégique. Mais pour transformer ce succès en paix durable, il lui faudra aller au-delà du militaire, jeter des ponts et cultiver des liens, faire de Kidal un port sûr pour tous ceux qui en sont les âmes vivantes. Si l’État parvient à instaurer une sécurité réelle, à promouvoir le développement local et à entendre les voix des Kidalois, alors peut-être que cette conquête deviendra un symbole de paix et de prospérité.

Le Mali, comme un capitaine qui a retrouvé sa boussole, semble déterminé à garder le cap, à maintenir son fief du nord. Car au-delà de la mer des dunes et des montagnes de Kidal, c’est un avenir souverain et uni qui se dessine pour ce pays qui, après tant de tempêtes, espère enfin naviguer vers des horizons plus cléments.

Alassane Diarra

12 novembre 2024 0 comments
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Donald Trump, le poing en l'air après la tentative d'assasinat
A la UnePolitique

Présidentielle américaine : l’héritage de Trump et l’élection de 2024 — un cocktail explosif

by Chiencoro 12 novembre 2024
written by Chiencoro 4 minutes read

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