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Mobilisation générale à Bamako
ActuPolitique

Mali : après le discours controversé devant le M5, le Premier ministre dans l’œil du cyclone

by Sahel Tribune 20 novembre 2024
written by Sahel Tribune 6 minutes read

Des mobilisations massives à travers le Mali témoignent d’un soutien accru au Président Assimi Goïta, tout en amplifiant les appels au limogeage du Premier ministre Choguel Maïga, après son discours controversé devant le M5-RFP.

Le Mali, pays aux multiples défis, voit aujourd’hui son paysage politique secoué par une vague de mobilisations populaires, cristallisant les soutiens et les oppositions au sein de la Transition. À l’épicentre de cette effervescence, le discours prononcé le 16 novembre dernier par le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga devant les membres du M5-RFP a mis en lumière des fractures politiques profondes. Cette déclaration a provoqué une réaction en chaîne, notamment des mobilisations massives dans les régions du pays en faveur du Président de la Transition, le Général Assimi Goïta, tout en appelant au limogeage du Premier ministre.

Un pays en ébullition : les soutiens massifs à Assimi Goïta

Le 19 novembre 2024, des manifestations ont éclaté dans plusieurs régions du Mali, portées par les forces vives de la nation, des communautés locales, et des organisations de jeunesse. Ces démonstrations ont réaffirmé un soutien sans faille au Président de la Transition, le général d’armée Assimi Goïta. La communauté Idaksahak, notamment, a marqué son appui lors d’un meeting organisé au CICB à Bamako. Par cette mobilisation, elle a exprimé son attachement aux valeurs d’unité nationale, de souveraineté et de concorde.

Meeting au CICB
Grande mobilisation du peuple malien, le 19 novembre 2024, au CICB. Internaute.

À Ménaka, au cœur d’une région fragilisée par les tensions sécuritaires, des rassemblements ont illustré la solidarité des populations locales envers les autorités de la Transition. Cette ferveur a également gagné Kayes, où une grande marche, orchestrée par le Conseil Régional de la Jeunesse et la Société Civile, a réclamé ouvertement le départ de Choguel Maïga. C’était pareil à San ainsi que dans les autres régions du pays. Ces manifestations traduisent une aspiration populaire à la stabilité et une reconnaissance des efforts entrepris par Assimi Goïta pour restaurer la paix.

Choguel sous le feu des critiques : un discours controversé

Le meeting de Choguel Kokalla Maïga au CICB, le 16 novembre dernier, qui se voulait un exercice de clarification politique, a déclenché une véritable tempête. Les propos du Premier ministre, des critiques ouvertes à l’encontre de certaines décisions de la Transition, ont ravivé les tensions au sein de la classe politique et suscité une indignation populaire. Pour beaucoup, ses déclarations ont été perçues comme un acte de défiance envers le Président de la Transition et les autorités militaires, accentuant les appels à son départ.

Cette situation met en exergue les fragilités d’une cohabitation politique déjà complexe. Choguel Maïga, figure emblématique du M5-RFP, semble de plus en plus isolé dans un contexte où la loyauté envers le chef de l’État devient un critère central pour conserver sa place dans l’appareil gouvernemental.

Une Transition sous pression : les défis d’unité

Les manifestations du 19 novembre, bien qu’elles témoignent d’un soutien populaire massif pour Assimi Goïta, révèlent également les fractures politiques au sein de la Transition. Le Mali est à un carrefour crucial où chaque faux pas peut exacerber les tensions internes. La déclaration de Choguel, au lieu d’apaiser, a mis en lumière une réalité politique complexe : l’équilibre fragile entre le pouvoir civil et les aspirations des autorités militaires.

Meeting du 19 novembre au CICB
Grande mobilisation du peuple malien, le 19 novembre 2024, au CICB. Internaute.

Assimi Goïta, en véritable stratège, a jusqu’à présent cultivé une image de leader soucieux de la justice et de la souveraineté nationale. Les mobilisations en son honneur confirment qu’une partie significative de la population voit en lui l’homme providentiel capable de remettre le Mali sur les rails. Cependant, la contestation croissante envers le Premier ministre pose une question fondamentale : la Transition peut-elle réussir avec des dissensions aussi marquées à son sommet ?

Le poids de l’histoire : une date symbolique

Le choix du 19 novembre comme jour de mobilisation n’est pas anodin. Cette date résonne douloureusement dans l’histoire politique du Mali. Elle rappelle l’entrée des militaires sur la scène politique en 1968 avec le coup d’État du Lieutenant Moussa Traoré, marquant le début d’une longue période de dictature militaire. Pour les Maliens, elle évoque également la disparition tragique de Modibo Keïta, père de l’indépendance, et les épreuves qui ont suivi : crises économiques, retard des salaires, effondrement des institutions.

Aujourd’hui, ce souvenir agit comme un avertissement. Les Maliens, bien que largement soutenant le Président de la Transition, redoutent une répétition des erreurs du passé. Les autorités actuelles doivent donc naviguer prudemment pour éviter que les tensions politiques ne compromettent les avancées réalisées depuis 2021.

L’héritage d’un discours et les attentes populaires

Dans ce contexte, le rôle de Choguel Maïga devient de plus en plus délicat. Ses opposants le décrivent comme un obstacle à l’unité et à l’efficacité de la Transition. Pourtant, son parcours au sein du M5-RFP et sa contribution à la chute de l’ancien régime ne peuvent être ignorés. L’enjeu pour Choguel est de réconcilier ses positions avec la dynamique actuelle, dominée par le pragmatisme et la quête de stabilité incarnée par Assimi Goïta.

Les mobilisations de soutien au Président Goïta sont un signal clair : le peuple malien attend des résultats concrets, non des querelles intestines. La lutte contre l’insécurité, le renforcement de la souveraineté nationale et la justice sociale demeurent des priorités incontournables. Chaque acteur politique, y compris le Premier ministre, est appelé à s’aligner sur ces objectifs ou à céder la place.

Une Transition à la croisée des chemins

Les prochains jours seront décisifs pour l’avenir de la Transition. La pression populaire en faveur d’Assimi Goïta et les appels au limogeage de Choguel Maïga mettent en lumière une réalité : le Mali est à la croisée des chemins. La réussite de cette période transitoire dépendra de la capacité des dirigeants à dépasser les querelles personnelles et à travailler collectivement pour répondre aux aspirations du peuple.

Le Général Assimi Goïta, avec son image d’homme de justice et de rigueur, devra continuer à incarner l’espoir d’un Mali nouveau, tout en veillant à maintenir l’unité au sein de son équipe gouvernementale. Quant à Choguel Maïga, il doit réfléchir à son rôle dans cette dynamique. S’il persiste dans une posture conflictuelle, il risque non seulement de perdre sa place, mais aussi de ternir son héritage politique.

Le Mali, riche de son histoire et de la résilience de son peuple, a encore une chance unique de se relever. Mais pour cela, la Transition doit être portée par une équipe soudée et déterminée à servir l’intérêt général. Les mobilisations du 19 novembre rappellent que le peuple malien observe et exige des résultats. Il appartient maintenant aux dirigeants de répondre à cet appel avec responsabilité et vision.

Oumarou Fomba 

20 novembre 2024 0 comments
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Arrivée des soldats ivoiriens
Analyses

Sécurité régionale : la Côte d’Ivoire est-elle prête à faire face aux défis terroristes ?

by Sahel Tribune 20 novembre 2024
written by Sahel Tribune 7 minutes read

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Une mère et son enfant en tain d'échanger sur la sexualité sous un arbre avec des sourires aux lèvres
A la UneÉchos d'amour

Le baobab et les étoiles : une histoire pour parler de sexualité aux enfants dans le Sahel

by Mariam 20 novembre 2024
written by Mariam 3 minutes read

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champs-agriculture
A la UneÉconomie

Samanko : comment le président de la Transition redresse une injustice foncière majeure

by Sahel Tribune 19 novembre 2024
written by Sahel Tribune 5 minutes read

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Ambassade de France au Niger
ActuSécurité

Espionnage ou quiproquo ? L’affaire Marius Bercea ravive les tensions Paris-Niamey

by Chiencoro 19 novembre 2024
written by Chiencoro 3 minutes read

L’arrestation de Marius Bercea au Niger, soupçonné d’espionnage, exacerbe les tensions déjà vives entre Paris et Niamey. Ce nouvel épisode traduit une crise diplomatique profonde.

L’arrestation de Marius Bercea, ressortissant français et ancien parachutiste de la Légion étrangère, au Niger le 13 novembre dernier, illustre l’érosion des relations entre Niamey et Paris. Présenté par la télévision publique nigérienne comme un agent de la DGSE, cet incident vient jeter une lumière crue sur l’intensité du climat de défiance entre les autorités nigériennes de la transition et la France.

Depuis le coup d’État de juillet 2023 qui a renversé le président Mohamed Bazoum, les ponts diplomatiques entre les deux nations se sont transformés en barricades. L’expulsion des forces militaires françaises, la fermeture de l’ambassade, et la reconfiguration symbolique d’établissements culturels tels que le centre franco-nigérien — rebaptisé en un geste affirmant la souveraineté nationale — témoignent de la volonté explicite de Niamey de se démarquer de l’influence française. Cette rupture, dictée autant par un besoin de légitimité intérieure que par un nationalisme exacerbé, a relégué Paris au rang de suspect systématique dans la politique nigérienne.

Une arrestation à haute portée symbolique  

La capture de Bercea vient nourrir cette rhétorique. Consultant en sécurité selon ses profils publics, il est soupçonné d’être un maillon d’un réseau d’espionnage visant à déstabiliser la transition nigérienne. Que ces accusations soient fondées ou non, leur symbolisme est limpide : pour les dirigeants nigériennes, l’arrestation d’un Français à un moment stratégique sert à renforcer la perception d’un complot occidental et à galvaniser une opinion publique acquise à la souveraineté nationale. En écho, la réaction mesurée de la diplomatie française — marquée par une volonté de négocier sans envenimer la situation — traduit l’équilibre entre la protection de ses citoyens et la reconnaissance d’une réalité géopolitique bouleversée.

Mais cette arrestation soulève des questions profondes sur l’avenir des relations entre les deux pays. L’accusation d’espionnage pourrait marquer un point de non-retour, instaurant une méfiance institutionnelle durable. De plus, elle fragilise l’image d’une France capable de protéger ses intérêts et ses ressortissants dans une région où ses engagements sécuritaires ont longtemps été omniprésents. Elle reflète aussi une tendance plus large en Afrique francophone, où les nouvelles élites post-coup d’État exploitent le rejet de l’héritage colonial pour justifier leurs politiques.

Une opportunité pour réévaluer les positionnements  

Le cas de Marius Bercea n’est donc pas un incident isolé. Il est l’écho d’un théâtre géopolitique où chaque geste, chaque déclaration devient une pièce d’un puzzle complexe. Pour la France, il s’agit désormais non seulement d’obtenir la libération de son ressortissant, mais aussi de réévaluer son positionnement stratégique au Sahel. Pour le Niger, cette affaire offre l’opportunité d’affirmer son autonomie sur la scène internationale, tout en rappelant qu’elle se joue dangereusement sur la corde raide des relations bilatérales.  

Si la souveraineté est un principe sacré, elle ne doit pas devenir un prétexte à la rupture systématique. Car, au-delà des discours et des arrestations, ce sont des nations liées par l’Histoire et les intérêts partagés qui risquent de s’éloigner durablement.

Chiencoro Diarra 

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Mine d'or de Syama
A la UneÉconomie

Litiges miniers au Mali : le bras de fer entre Resolute et les autorités de la transition

by Sahel Tribune 19 novembre 2024
written by Sahel Tribune 4 minutes read

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Image: Un graphique réalisé pour illustrer les chroniques du Mardi.
Chroniques

[Chronique] Sariya Bato : quand le fleuve de la justice cherche son lit

by Sahel Tribune 19 novembre 2024
written by Sahel Tribune 4 minutes read

Dans l’immense désert des défis judiciaires qui parsèment le Mali, le projet Sariya Bato s’érige comme une caravane porteuse d’espoir. Son lancement, tel un phare dans une nuit obscure, vient éclairer un chemin souvent encombré de méfiance, de corruption et d’injustice. Mais que signifie vraiment cette initiative dans une nation où la justice est perçue par beaucoup comme une oasis inaccessible ?

Sariya Bato, qui signifie « Respect de l’État de droit » en bambara, s’apparente à un pont tendu entre les citoyens et les institutions judiciaires. Ce projet repose sur une idée fondamentale : replacer les citoyens au cœur des réformes. Dans un pays où le système judiciaire est parfois perçu comme un mirage — visible, mais insaisissable — cette initiative ambitionne de transformer les tribunaux en maisons ouvertes, accueillant sans distinction riches et pauvres, hommes et femmes, puissants et vulnérables.

Le Mali, marqué par des décennies d’instabilité, a vu son système judiciaire s’effilocher sous le poids des crises politiques et sociales. Pourtant, comme une terre en jachère attendant l’eau pour renaître, les citoyens réclament une justice qui leur parle, qui les écoute et qui les protège. Sariya Bato veut répondre à cet appel, à travers la modernisation des mécanismes judiciaires, l’amélioration des infrastructures et le renforcement des capacités du ministère de la Justice.

Si la justice est une lampe, la corruption en est l’obscurité. Depuis des années, ce fléau mine la confiance des citoyens envers les institutions, déstabilisant la fragile architecture de l’État de droit. Mais Sariya Bato promet de faire souffler un vent nouveau. Par l’établissement de mécanismes de contrôle citoyen et la mise en place de politiques de responsabilisation, le projet ambitionne de chasser les ténèbres et d’illuminer les coins les plus reculés du système judiciaire.

La corruption, comme une herbe invasive, pousse là où le sol est fertile en désespoir. En la combattant avec des outils concrets, Sariya Bato ne se contente pas d’enlever les mauvaises herbes ; il prépare le terrain pour une nouvelle culture de transparence et d’intégrité.

Dans la savane malienne, il y a ceux qui marchent à grandes enjambées et ceux qui traînent derrière, les pieds alourdis par les fardeaux de la pauvreté, du genre ou de la marginalisation. Sariya Bato promet de ne laisser personne derrière. En mettant un accent particulier sur la lutte contre les violences basées sur le genre et la traite des personnes, le projet devient le bouclier des groupes les plus vulnérables. 

De plus, en collaborant avec des acteurs locaux pour sensibiliser les communautés, Sariya Bato ne se contente pas de construire des murs ; il érige des ponts. L’objectif n’est pas seulement de rendre justice, mais aussi de bâtir une société où chacun connaît ses droits et se sent libre de les revendiquer.

L’État de droit, lorsqu’il est fragile, ressemble à un arbre penché, dont les fruits sont hors de portée pour la majorité. Sariya Bato veut redresser cet arbre, permettant aux citoyens maliens de goûter à une justice équitable. Ce projet aspire à établir un dialogue entre les citoyens et les institutions judiciaires, à faire de la justice un bien public, et non un privilège.

Dans un pays où les conflits et les frustrations alimentent l’instabilité, un tel dialogue est une semence pour la paix. Car la justice, lorsqu’elle est accessible et compréhensible, devient une arme contre l’extrémisme et une clé pour la cohésion sociale.

Le lancement de Sariya Bato marque un tournant. Ce projet, fruit d’un partenariat entre Mali Justice Project et l’USAID, ne promet pas une révolution immédiate, mais il offre une feuille de route claire, comme une boussole pour guider le Mali vers un avenir plus juste. 

Le chemin sera long, semé d’embûches et d’obstacles. Mais, comme le dit un proverbe africain : « Là où il y a de l’eau, il y a de la vie. » Sariya Bato est cette eau vive qui, si elle est bien canalisée, irriguera les terres arides de l’injustice malienne et permettra aux fleurs de l’espoir de refleurir.

Avec ce projet, le Mali a une opportunité rare de réécrire le contrat social entre l’État et ses citoyens. Sariya Bato n’est pas seulement un projet, c’est une promesse, celle de redonner à la justice ses lettres de noblesse, et au peuple, la foi en ses institutions.

Oumarou Fomba

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