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AUDIENCE SOLENNELLE DE RENTREE DES COURS ET TRIBUNAUX
A la UnePolitique

Conseil des ministres inaugural : le président Goïta fixe le cap du nouveau gouvernement

by Chiencoro 27 novembre 2024
written by Chiencoro 4 minutes read

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27 novembre 2024 0 comments
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Amour 2.0
A la UneÉchos d'amour

De l’écran au mariage : contes d’amour 2.0 dans le désert

by Mariam 27 novembre 2024
written by Mariam 3 minutes read

Plongez dans une histoire captivante où la technologie et la tradition s’entrelacent pour donner naissance à une romance moderne au cœur des villages sahéliens. Les noms utilisés dans le texte sont des emprunts. 

Dans un petit village sahélien, où la terre rouge raconte des siècles d’histoire et où le vent transporte les murmures du passé, une nouvelle ère de romances émerge, portée par la technologie. Ici, au cœur de la simplicité rurale, les connexions ne sont plus uniquement celles des mains qui s’entrelacent ou des regards qui se croisent dans les champs. Elles naissent aussi d’écrans lumineux et de claviers timides.

Fatoumata, 24 ans, est une jeune femme rêveuse, vivant à Kouré, un village niché au cœur du Sahel. La nuit tombée, une fois les corvées du jour terminées, elle s’installe dans la modeste chambre qu’elle partage avec ses petites sœurs. Entre les murs de terre cuite, son téléphone, rechargé grâce à un panneau solaire, devient sa fenêtre sur le monde. C’est là qu’elle a rencontré Mamadou, un instituteur de Gossi, à plus de 200 kilomètres de là.

Tout a commencé par un simple message sur un groupe WhatsApp dédié aux jeunes sahéliens. Une discussion anodine sur les traditions locales s’est rapidement transformée en échanges privés. « J’ai vu dans ses mots une sincérité rare », confie Fatoumata en souriant timidement. Mamadou, de son côté, décrit Fatoumata comme « un rayon de soleil qui brille au-delà des dunes ».

Leur relation a prospéré dans l’univers digital. Des appels vidéos sous les étoiles, des messages échangés au rythme des connexions instables, et même des poèmes envoyés par SMS ont construit un lien fort. Fatoumata partageait avec Mamadou les chansons qu’elle fredonnait en pilant le mil, tandis que Mamadou lui montrait les dessins que ses élèves faisaient en classe.

Pourtant, cette histoire d’amour virtuelle n’a pas été sans défis. Dans un village où la modernité s’installe à petits pas, Fatoumata a dû affronter les regards sceptiques de sa famille. « Une romance née d’un écran ? Ce n’est pas sérieux », lui répétait sa tante. Mais Fatoumata a tenu bon. Elle savait que son cœur battait pour quelqu’un qui la comprenait et respectait ses aspirations.

Le grand jour de leur rencontre en personne est arrivé un matin de marché. Mamadou a parcouru des kilomètres sur sa vieille moto pour rejoindre Fatoumata. Quand leurs regards se sont croisés pour la première fois, tout doute s’est envolé. Leurs mains se sont enfin touchées, et le silence a dit tout ce que les mots n’avaient pu exprimer.

Aujourd’hui, Fatoumata et Mamadou préparent leur mariage, prouvant à leur communauté qu’une histoire d’amour peut naître même dans les pixels d’un écran. Leur union est un symbole d’espoir, un pont entre traditions séculaires et modernité.

Dans les villages sahéliens, où la technologie semble parfois incongrue face aux traditions immuables, les histoires d’amour 2.0 se multiplient, tissant de nouveaux rêves dans le désert. Entre messages numériques et promesses sous les étoiles, les échos d’amour continuent de résonner, modernes et éternels à la fois.

Mariam 

27 novembre 2024 0 comments
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Lampadaires solaire
A la UneÉconomie

Sécurité et modernité : Bamako se transforme sous le regard des lampadaires solaires

by Sahel Tribune 26 novembre 2024
written by Sahel Tribune 4 minutes read

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26 novembre 2024 0 comments
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Thiaroye
ActuPolitique

Thiaroye : une tragédie historique enfin nommée « massacre » par François Hollande

by Chiencoro 26 novembre 2024
written by Chiencoro 5 minutes read

Le massacre de Thiaroye, tragédie longtemps occultée de l’histoire coloniale française, révèle les injustices subies par les tirailleurs africains et appelle à une reconnaissance pleine et entière des responsabilités.

L’histoire retient parfois des moments que certains auraient préféré oublier. Le massacre de Thiaroye, survenu le 1er décembre 1944 dans un camp militaire sénégalais, illustre l’une des pages les plus sombres de l’histoire coloniale française. Des tirailleurs africains, soldats démobilisés de la Seconde Guerre mondiale, furent exécutés alors qu’ils réclamaient le paiement de leur solde. Un massacre que l’ancien président François Hollande, dans une interview à un média occidental, a reconnu comme tel, brisant un silence pesant. Ce massacre, pourtant méconnu pendant des décennies, revient aujourd’hui sous les projecteurs à la faveur d’un travail acharné d’historiens et d’activistes pour la vérité.

Une tragédie longtemps étouffée

Le massacre de Thiaroye n’est pas un simple épisode sanglant de l’histoire coloniale, c’est un symbole des inégalités, des injustices et de l’arrogance d’un empire qui se disait civilisateur. Les tirailleurs, originaires de plusieurs colonies d’Afrique de l’Ouest, avaient combattu sous le drapeau français, endurant la rudesse des fronts européens et l’humiliation des camps de prisonniers nazis. À leur retour, ils furent confrontés à l’ingratitude de la puissance qu’ils avaient servie. Leur seul crime : réclamer ce qui leur était dû.

François Hollande le reconnaît sans détour : « Oui, c’est un massacre… un massacre à la mitrailleuse. » Ces mots viennent rompre avec la prudence et l’évitement historique qui ont longtemps caractérisé le discours officiel français sur cet événement. Pourtant, le massacre de Thiaroye n’a pas été le fruit d’un ordre centralisé venant des plus hautes sphères, selon Hollande, mais plutôt une décision locale, irréfléchie et irréparable.

Une histoire de revendications légitimes

À Thiaroye, les tirailleurs réclamaient le paiement de leurs soldes et indemnités de guerre, un droit légitime après des années de sacrifices. Ce qui aurait dû être une discussion pour l’équité s’est transformé en un carnage. La réponse fut brutale, inhumaine : des dizaines, voire des centaines d’hommes furent abattus froidement, un acte que Mamadou Diouf, historien sénégalais, qualifie de « dissimulation criminelle » orchestrée pour masquer la responsabilité des autorités françaises.

Selon les archives françaises de l’époque, 35 tirailleurs auraient perdu la vie ce jour-là. Pourtant, des historiens et chercheurs comme Mamadou Diouf et Armelle Mabon avancent que ce chiffre pourrait être bien plus élevé. « Le nombre réel de victimes reste un sujet de controverse, tout comme leur lieu d’inhumation, parfois dans des fosses communes », déplore Mamadou Diouf. Ces chiffres et zones d’ombre témoignent de la volonté de minimiser un crime que certains qualificatifs de « mensonge d’État ».

Armelle Mabon, historienne française engagée sur cette question, insiste sur l’importance de franchir un cap décisif : la reconnaissance totale et officielle du massacre. Dans son livre, Le massacre de Thiaroye : 1er décembre 1944 ; Histoire d’un mensonge d’État, elle révèle les rouages d’une « entreprise de falsification historique » visant à minimiser l’ampleur de la tragédie et à diluer les responsabilités.

Une commémoration teintée de soupçons

Alors que le Sénégal prépare les commémorations du 80ᵉ anniversaire de Thiaroye, les tensions sur la transparence historique restent vives. Depuis 2014, la France affirme avoir transmis à Dakar toutes les archives relatives à cet événement. Mais, selon des chercheurs sénégalais, des documents pourraient être encore dissimulés, empêchant une reconstitution complète des faits.

Cette quête de vérité dépasse la simple restitution d’archives. Elle symbolise une lutte pour la reconnaissance des souffrances subies par des générations de soldats africains marginalisés, humiliés, et parfois exécutés pour leur loyauté envers une France qui les a trahis.

Une résonance contemporaine

Le massacre de Thiaroye n’est pas qu’un souvenir lointain ; il éclaire les défis actuels des relations franco-africaines. La reconnaissance des crimes coloniaux est une étape essentielle pour rétablir une confiance mise à mal par des décennies de condescendance et de silences gênants.

Les mots de François Hollande, bien que tardifs, ouvrent une porte à une discussion nécessaire sur le passé colonial de la France. Cependant, des excuses officielles et des réparations symboliques ou financières restent à l’horizon. Ce massacre, tout comme d’autres exactions commises dans le cadre colonial, ne peut être véritablement clos sans un processus complet de justice mémorielle.

Pour le Sénégal, le massacre de Thiaroye est un drame mémorielle, mais aussi un enjeu politique actuel. Lors d’un discours en campagne électorale, le Premier ministre Ousmane Sonko a énoncé les limites de la reconnaissance française : « Ce n’est pas à la France de fixer unilatéralement le nombre d’Africains trahis et assassinés. » Son message reflète une volonté de remplacer le récit africain au centre des commémorations, loin des narrations imposées par l’ancienne puissance coloniale.

Une mémoire à raviver pour réconcilier

Les commémorations de Thiaroye, comme le souligne Mamadou Diouf, sont un devoir collectif, non seulement pour le Sénégal mais aussi pour tous les pays concernés et pour la France elle-même. Elles doivent être une occasion de raviver la mémoire des tirailleurs sacrifiés, tout en exhortant les institutions à rendre accessible la vérité. Armelle Mabon rappelle que ces hommes n’ont pas seulement été tués ; leur mémoire a été souillée par des décennies de mensonges et de déni.

Comme le disait François Hollande, « Les mots doivent être mis là où ils correspondent à une réalité. » À Thiaroye, la réalité fut celle d’un massacre. À nous de faire en sorte qu’elle devienne aussi celle d’une réconciliation mémorielle.

Cette tragédie nous interroge sur le devoir de mémoire envers tous les oubliés de l’histoire, et sur notre capacité à bâtir un avenir collectif à partir de vérités douloureuses mais essentielles.

Le massacre de Thiaroye, longtemps refoulé dans les marges de l’histoire, est aujourd’hui une métaphore de la complexité des relations entre la France et l’Afrique. Reconnaître ce massacre comme un crime historique, c’est reconnaître que la décolonisation n’est pas seulement un fait juridique ou politique : c’est un processus de réconciliation mémorielle. Thiaroye nous rappelle que l’histoire ne s’efface pas. Elle attend, patiente, et revient à la lumière quand ceux qui réclament justice persistent et refusent de se taire.

Chiencoro Diarra 

26 novembre 2024 0 comments
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Image: Un graphique réalisé pour illustrer les chroniques du Mardi.
A la UneChroniques

[Chronique] La danse des ombres au Sahel

by Sahel Tribune 26 novembre 2024
written by Sahel Tribune 4 minutes read

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Remise du rapport par le Vérificateur général au président de la Transition
ActuSanté

Protection sociale au Mali : un rapport accablant sur les dérives financières et administratives

by Sahel Tribune 25 novembre 2024
written by Sahel Tribune 5 minutes read

Une gestion chaotique et des irrégularités financières massives plombent l’INPS et l’AMO, deux piliers essentiels de la protection sociale au Mali. Entre retards de paiement des pensions, abus administratifs et dysfonctionnements dans la prise en charge des assurés, ces institutions suscitent une vive inquiétude et appellent à des réformes urgentes pour restaurer la confiance des citoyens.

Le paysage de la protection sociale au Mali, ancré dans l’Institut national de prévoyance sociale (INPS) et l’Assurance maladie obligatoire (AMO), a été secoué par des révélations de mauvaise gestion systémique et d’irrégularités financières. Ces deux institutions vitales, chargées de préserver le bien-être de la nation, se sont embourbées dans un réseau d’inefficacité, de détournement de fonds et de défaillances administratives. Les conclusions, telles que détaillées dans le rapport annuel 2023 du Bureau du Vérificateur général (BVG), soulignent le besoin urgent de réformes pour restaurer la confiance du public et l’intégrité opérationnelle.

Une crise de gouvernance et de responsabilité

Le rapport de l’équipe de vérification du Bureau du vérificateur général (BVG) révèle des manquements importants au sein de l’INPS et de l’AMO. Parmi les irrégularités les plus flagrantes figurent des divergences dans les rapports financiers, des dépenses injustifiées et le non-respect des lois sur les marchés publics. Par exemple, l’INPS a été pointé du doigt pour ne pas avoir justifié des dépenses s’élevant à plusieurs milliards de FCFA, les auditeurs notant que « des transactions clés ont été traitées sans pièces justificatives », ce qui laisse présager de malversations. 

Dans le même temps, l’AMO a fait l’objet d’une surveillance pour « ne pas avoir rapproché ses comptes, ce qui a conduit à un système financier opaque qui compromet sa capacité à honorer ses obligations envers les prestataires de soins de santé et les bénéficiaires assurés ».

Les bénéficiaires sont les principales victimes de la mauvaise gestion

Les conséquences de ces défaillances administratives et financières se répercutent sur l’ensemble de la société, en particulier sur les plus vulnérables. Les retraités qui dépendent de l’INPS pour leurs allocations mensuelles sont confrontés à des retards de paiement, tandis que les établissements de santé sous contrat avec l’AMO ont du mal à recevoir leurs remboursements en temps voulu. 

Cette inefficacité compromet la prestation de services et érode la confiance dans les institutions publiques censées servir de filets de sécurité. « Lorsque les pensions et les demandes de remboursement médical sont retardées ou refusées en raison de l’inefficacité, ce sont les retraités et les malades qui en paient le prix fort », a déploré un observateur lors d’un débat public sur le rapport.

Le double défi des irrégularités qui se chevauchent

Les conclusions de l’équipe de vérification de Samba Alhamdou Babay vont au-delà de la mauvaise gestion financière et incluent des inefficacités opérationnelles. À l’INPS, « le chevauchement des rôles professionnels et la mauvaise définition des responsabilités ont gonflé les coûts de la masse salariale et affaibli les structures de responsabilité ». De même, l’AMO a été critiquée pour ses mécanismes de surveillance laxistes, les auditeurs notant que « l’absence de contrôles internes a permis la prolifération des remboursements irréguliers, dont certains prestataires de soins de santé bénéficient de manière disproportionnée ». Ces défaillances systémiques suggèrent une culture de négligence plus large au sein de ces institutions.

Ces irrégularités sont dues à une culture persistante de corruption et à une faiblesse institutionnelle. Le rapport souligne que « malgré des audits et des recommandations répétés, la mise en œuvre des mesures correctives reste lamentablement insuffisante ». Au sein de l’INPS comme de l’AMO, les lacunes des cadres de gouvernance ont été exploitées, transformant ces institutions en terrain fertile pour l’inefficacité. « Sans responsabilité, ces manquements ne feront que s’aggraver, érodant encore davantage la confiance du public », prévient le BVG.

Une voie à suivre : recommandations pour une réforme systémique

La voie vers le redressement de l’INPS et de l’AMO exige une stratégie à plusieurs volets. Le renforcement des contrôles internes est primordial, car « des systèmes automatisés de suivi et de reporting financier pourraient réduire considérablement les erreurs humaines et les possibilités de corruption ». Des processus d’approvisionnement transparents doivent remplacer les pratiques ad hoc et opaques qui prévalent actuellement. En outre, le renforcement des capacités au sein des deux institutions est crucial. « Le personnel doit être formé et tenu responsable du respect des directives financières et opérationnelles », recommande le BVG.

Il faut également renforcer les mécanismes de responsabilisation publique. La publication régulière de rapports sur les performances financières et la possibilité pour les citoyens de contrôler les activités des institutions favoriseraient la transparence. Des réformes juridiques sont tout aussi importantes pour permettre aux organismes de réglementation de « sanctionner rapidement les fautes et de récupérer les fonds perdus ».

Au-delà des réformes : un appel à une intégrité renouvelée

Les problèmes rencontrés par ces structures de protection sociale sont symptomatiques de défis plus vastes dans le cadre de la gouvernance du Mali. La mauvaise gestion de ces institutions porte atteinte au cœur de la confiance des citoyens dans les services publics. Comme le souligne à juste titre le rapport du BVG, « remédier à ces irrégularités ne se résume pas à équilibrer les comptes ; il s’agit de garantir la dignité des retraités, l’équité dans l’accès aux soins de santé et l’équité dans la prestation des services publics ».

Pour aller de l’avant, il faut que les décideurs politiques, la société civile et le public soient déterminés à exiger mieux. Ce n’est qu’en s’engageant véritablement en faveur de l’intégrité, de la transparence et de l’efficacité que l’INPS et l’AMO pourront remplir leur mandat et regagner la confiance des citoyens qu’ils servent. Comme l’a fait remarquer un expert des finances publiques, « le succès de ces réformes déterminera non seulement l’avenir de la protection sociale au Mali, mais aussi la crédibilité de l’État lui-même ».

Alassane Diarra 

25 novembre 2024 0 comments
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Une graphique réalisée pour illustrer les édito sur notre site.
A la UneEdito

[ Editorial ] Quand la régulation médiatique flirte avec la censure

by Sahel Tribune 25 novembre 2024
written by Sahel Tribune 5 minutes read

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