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Guterres
Planète

Antonio Guterres appelle les Etats à déclarer « l’état d’urgence climatique »

by Sahel Tribune 12 décembre 2020
written by Sahel Tribune 2 minutes read

« J’appelle aujourd’hui les responsables du monde à déclarer l’état d’urgence climatique dans leur pays jusqu’à ce que la neutralité carbone soit atteinte », a recommandé Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, à l’occasion de la célébration du cinquième anniversaire de l’adoption de l’accord de Paris historique sur la crise climatique, samedi 12 décembre 2020. Cette déclaration, selon l’Agence France-Presse (AFP), a été faite au cours d’un sommet virtuel « destiné à relancer les efforts pour lutter contre le réchauffement climatique ».

Selon Antonio Guterres, le monde n’est toujours pas « sur la bonne voie » pour limiter le réchauffement climatique bien en dessous de 2 °C, voire à 1,5 °C. « Les engagements qui avaient été alors pris pour y parvenir n’étaient pas suffisants. Et même ces engagements n’ont pas été respectés », a-t-il laissé entendre, lors de ce sommet.

Aux dires de M. Gueterres, vu l’urgence de la situation, les promesses ne suffisent plus. « Des efforts importants s’imposent dès à présent pour réduire les émissions mondiales de 45 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2010 » afin de tenir les promesses faites, a-t-il indiqué. A ses dires, ces objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre « doivent être clairement énoncés par les signataires de Paris dans des contributions déterminées au niveau national révisées et renforcées, qu’ils sont tenus de soumettre avant la COP26, l’an prochain, à Glasgow ».

Des dizaines de chefs d’État et de gouvernements, dont leprésident français Emmanuel Macron, la chancelière allemande Angela Merkel ou le président chinois Xi Jinping, des représentants d’entreprises, de la société civile ainsi que des peuples indigènes ont pris part à cet événement. Rappelons que l’année 2020 a été classée parmi les trois années les plus chaudes jamais enregistrées, selon l’Organisation météorologique mondiale.

Chiencoro

12 décembre 2020 0 comments
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Distribution de sacs de riz par la Force conjointe du G5 Sahel au Niger
Sécurité

Force conjointe du G5 sahel : distribution de 4 tonnes de riz au profit des villageois de DOLBEL et des réfugiés de BANKILARE et de TERA.

by Sahel Tribune 12 décembre 2020
written by Sahel Tribune 2 minutes read

Du 03 au 09 décembre 2020, la Force Conjointe du G5 Sahel (FC-G5S) a conduit, indique un communiqué du 11 décembre 2020, dans plusieurs localités du Niger, une distribution de plusieurs sacs de riz.

L’objectif de ces actions civilo-militaires (ACM) est de venir en aide aux populations les plus démunies vivant dans les localités les plus reculées de la zone des trois frontières.

Ainsi, le 03 décembre 2020, le bataillon nigérien de la FC-G5S a procédé à la distribution de deux tonnes de riz dans un camp de réfugiés situé dans le village de BANKILARE. Le 05 décembre 2020, c’est au tour de la population du village de DOLBEL, de recevoir une tonne de riz de la part de la

Force. Enfin, le 09 décembre 2020, ce sont 70 familles d’un camp de réfugiés dans la localité de TERA qui bénéficient d’une tonne de riz.

Ces différentes activités se sont déroulées en présence d’autorités telles que les représentants du Comité international de la Croix Rouge (CICR), les dignitaires et représentants des réfugiés et les chefs de regroupement locaux.

Les autorités et l’ensemble des populations ont chaleureusement salué l’action de la Force Conjointe qui vient soulager les bénéficiaires en proie à l’insécurité et souligner, une fois de plus, l’engagement de la Force à leurs côtés.

La Force Conjointe du G5 Sahel est une force régionale qui a pour mission de lutter contre les terroristes dans les régions frontalières communes aux pays du G5 Sahel en étroite coordination avec toutes les forces nationales et la force Barkhane. La Force Conjointe duG5 Sahel, composée d’unités provenant du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad, est mandatée pour pouvoir intervenir au-delà des frontières de ces pays dans le cadre d’une règlementation paraphée par les cinq Chefs d’État du G5 Sahel.

Source : Cellule Communication de la FC-G5S

Nous avons modifié le titre et le chapô

12 décembre 2020 0 comments
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Remise premiere medaille de la FC G5 Sahel
Sécurité

Remise de la première médaille de la Force Conjointe du G5 Sahel (FC-G5S)

by Sahel Tribune 12 décembre 2020
written by Sahel Tribune 2 minutes read

Dans son communiqué du 11 décembre 2020, la Force conjointe du G5 Sahel indique qu’en octobre dernier, à l’occasion de la relève des personnels et sous la présidence des chefs d’état-major des armées (CEMA), des cérémonies de remise de médailles ont eu lieu dans les différents pays abritant les Postes de Commandement multinational de la FC-G5S et le Poste de Commandement Conjoint (PCC) de Niamey.  

C’est ainsi que les militaires de la FC-G5S et ceux des forces partenaires (Barkhane, Africom) armant ces postes de commandement et remplissant les conditions d’éligibilité, se sont vu décerner la médaille de la FC-G5S : 

Créée par la décision N° 2019-041/G5 SAHEL, « la Médaille de la Force Conjointe G5 Sahel est destinée à récompenser les services distingués et le dévouement dont le personnel militaire des Etats membres du G5 Sahel a fait preuve lors de son engagement dans les opérations de sécurité et de développement conduites par la Force Conjointe G5 Sahel sur le territoire des Etats membres suivants : BURKINA FASO, MALI, MAURITANIE, NIGER, TCHAD. »

A Niamey, les 52 militaires du Fuseau Centre de la FC-G5S ont été félicités pour le travail accompli et les résultats engrangés tout au long de leur mandat.

La Force Conjointe du G5 Sahel est une force régionale qui a pour mission de lutter contre les terroristes dans les régions frontalières communes aux pays du G5 Sahel en étroite coordination avec toutes les forces nationales et la force Barkhane. La Force Conjointe du G5 Sahel, composée d’unités provenant du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad, est mandatée pour pouvoir intervenir au-delà des frontières de ces pays dans le cadre d’une règlementation paraphée par les cinq Chefs d’État du G5 Sahel.

Source : Cellule Communication de la FC-G5S

Nous avons modifié le titre et le chapô

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Global terrorisme indice 2020
Sécurité

« Le nombre de décès dû au terrorisme a diminué pour la cinquième année consécutive » (rapport)

by Sahel Tribune 12 décembre 2020
written by Sahel Tribune 4 minutes read

Malgré la chute des décès attribuables au terrorisme en 2019, l’Institut pour l’économie et la paix (IEP), dans son rapport 2020, indique que ce phénomène demeure « une menace importante et grave dans de nombreux pays »

« En 2019, le nombre de décès dû au terrorisme a diminué pour la cinquième année consécutive, après avoir atteint un sommet en 2014 », a déclaré l’Institut pour l’économie et la paix (IEP) dans son rapport publié en anglais « Indice mondial de terrorisme 2020 : mesurer l’impact du terrorisme ». Pour la cinquième année consécutive, les décès attribuables au terrorisme chutent en 2019, pour s’établir à 13 826, soit une baisse de 15 % par rapport à l’année précédente. Le rapport 2020 de « Global Terrorism Indice », publié en novembre 2020, indique que la réduction des décès liés au terrorisme s’explique par la réduction de l’impact de ce phénomène. Au total, 103 pays ont enregistré des améliorations.  

« Menace importante et grave dans de nombreux pays »

« Malgré la baisse générale de l’impact mondial du terrorisme, il demeure une menace importante et grave dans de nombreux pays », lit-on dans le communiqué de l’Institut pour l’économie et la paix du 25 novembre 2020. En 2019, dans 63 pays, il y a eu au moins un mort dans un attentat terroriste, souligne-t-on dans le rapport avant de préciser que dix-sept (17) « pays ont enregistré plus de 100 décès dus au terrorisme ». Seuls l’Afghanistan et le Nigeria ont enregistré plus de 1 000 morts, précise le même rapport. Une plus forte augmentation des actes terroristes a été enregistrée au Burkina Faso, où le nombre de décès a augmenté de 590 %.

Selon le communiqué de l’IEP, la « situation risque de se détériorer considérablement dans d’autres pays, à savoir : au Sri Lanka, au Mozambique, au Mali et au Niger ». En effet, dans le communiqué du 25 novembre, l’IEP souligne que « le centre de gravité de l’EIIL [État islamique en Irak et au Levant NDLR] se déplace vers l’Afrique subsaharienne, le nombre total de décès par l’EIIL dans la région augmentant de 67 % ».  Et de préciser : « L’EIIL et ses affiliés ont également été responsables d’attaques dans 27 pays en 2019 ».   

En Afrique, selon l’« Indice mondial de terrorisme 2020 : mesurer l’impact du terrorisme », en 2019, le Nigéria a enregistré « la deuxième plus forte réduction du nombre de décès dû au terrorisme ». Les décès dans ce pays liés au terrorisme chutent de 2 043 à 1 245, soit une réduction de 39,1 %. « Les décès dus au terrorisme au Nigeria sont aujourd’hui inférieurs de 83 % à leur sommet de 2014 », précise-t-on.

Les causes de la détérioration

Examinant les facteurs socio-économiques associés au terrorisme, ce rapport mentionne les niveaux élevés de griefs collectifs et une faiblesse de l’État de droit, le droit de vote social et l’exclusion dans les pays développés économiquement, les ruptures ethniques, religieuses et la corruption dans les pays moins développés économiquement.

Selon Steve Killelea, président exécutif de l’IEP, la nouvelle décennie enregistre l’apparition de nouvelles menaces terroristes. Comme exemples, il rappelle la montée de l’extrême droite en Occident et la détérioration du Sahel. À travers les récentes attaques en France et en Autriche, le président exécutif de l’IEP estime également que « de nombreux petits groupes sympathisants des philosophies de l’EIIL sont toujours actifs ». À l’en croire, « pour briser ces influences, trois grandes initiatives sont nécessaires : briser leur couverture médiatique et les réseaux sociaux en ligne, perturber leur financement et réduire le nombre de sympathisants. »

Selon ce rapport de l’Institut pour l’économie et la paix (IEP), « L’impact économique mondial du terrorisme était de 16,4 milliards de dollars américains en 2019, soit une baisse de 25 % par rapport à l’année précédente ». Ce qui conduit l’IEP à indiquer que « le terrorisme a un lourd coût financier ».

Notons que le rapport « Indice mondial de terrorisme » (GTI) est produit par l’Institut pour l’économie et la paix (IEP) « à partir des données de la Base de données mondiale sur le terrorisme (GTD) et d’autres sources ». Les données de la GTD sont recueillies par le Consortium national pour l’étude du terrorisme et des réponses au terrorisme (START) de l’Université de Maryland, indique-t-on. Le GTD contient plus de 170 000 incidents terroristes pour la période 1970-2019, précise IEP.

Togola



















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Colonel Malick Diaw president du CNT
Politique

Transition politique au Mali : le règlement intérieur du CNT adopté

by Sahel Tribune 11 décembre 2020
written by Sahel Tribune 2 minutes read

Le règlement intérieur du Conseil national de transition (CNT) a été adopté, vendredi 11 décembre 2020. Les travaux étaient présidés par le président de l’organe législatif de la transition, colonel Malick Diaw, au Centre international de conférences de Bamako (CICB).

Eh, oui, c’est fait ! Le Conseil national de transition, organe législatif de la transition, est désormais doté d’un règlement intérieur. La Commission ad hoc mise en place le samedi 5 décembre pour travailler sur le texte a terminé ses travaux. Le projet de règlement intérieur a été adopté, vendredi 11 décembre 2020, à l’unanimité des 99 voix des membres présents à la séance plénière.  

Les différentes commissions

Ce projet de règlement intérieur s’articule autour de l’organisation et le fonctionnement du CNT, de la procédure législative, du contrôle parlementaire et des dispositions diverses. 

Pour l’organisation et le fonctionnement du bureau du CNT, le règlement intérieur prévoit un président, six vice-présidents, deux questeurs et six secrétaires parlementaires. Après l’élection du bureau définitif, le CNT sera composé de dix commissions générales (la commission des Travaux publics, de l’Habitat, des Domaines et des Transports ; de l’Éducation, de la Culture, des Technologies de l’information et de la communication ; de l’Artisanat et du Tourisme ; de la Santé, du Développement et de la solidarité ; de la Défense nationale, de la Sécurité et de la Protection civile ; des Finances, de l’Économie, du Plan et de la Promotion du secteur privé, des industries et des mines ; des Lois constitutionnelles, de la Législation, de la Justice, des droits de l’Homme et des institutions de la République).

Parmi les commissions mises en place, il convient de mentionner également celle de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la réconciliation nationale ; des Affaires étrangères, des Maliens de l’extérieur et de l’Intégration africaine ; du Développement rural, de l’Environnement et de l’Assainissement, de l’Énergie et de l’Eau ; de la promotion de la femme, de la famille, de la protection de l’enfant, de la Jeunesse, des Sports, du Travail et de l’Emploi.

Composition des commissions

Chacune des commissions mises en place est composée de onze membres, excepté les commissions des Finances, de l’Économie, du Plan et de la Promotion du secteur privé, de la commission des Lois constitutionnelles, de la Législation, de la Justice, des droits de l’Homme et des institutions de la République et de celle de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Réconciliation nationale, précise le projet de texte adopté ce vendredi.

Bien vrai que ce projet de règlement intérieur s’inspire de celui de l’Assemblée nationale, aucun groupe parlementaire n’est prévu dans le CNT. Comme explication de ce fait, c’est que les membres du Conseil national de transition n’ont pas été élus et n’appartiennent pas à des tendances politiques.

Togola

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Le president et le vice president de la transition malienne
Enquête

Transition politique : les Maliens gardent foi (enquête d’opinion)

by Sahel Tribune 11 décembre 2020
written by Sahel Tribune 2 minutes read

Dans son enquête d’opinion, « Que pensent les Malien (ne) s ? », publiée au début de ce mois de décembre 2020, la fondation Friedrich Ebert Stiftung fait état de la perception des Maliens sur la transition politique en cours au Mali. Il ressort de ce sondage que la majorité des citoyens enquêtés font confiance à l’équipe mise en place pour diriger ce processus de dix-huit (18) mois.

Les Maliens n’ont pas perdu foi en la transition politique qui a commencé dans leur pays depuis trois mois. Dans un sondage d’opinion spécial, la fondation Friedrich Ebert Stiftung indique la perception des Maliens sur les différents organes de la transition. Il ressort de cette enquête d’opinion que la majorité a confiance que cette transition parviendra à refonder l’État.

« Plus de trois Malien (ne) s sur cinq (61,1 %) ont confiance que cette transition mènera vers un système démocratique et de bonne gouvernance », indique-t-on dans cette enquête d’opinion. C’est seulement 14,1 % qui soutiennent le contraire contre 17,1 % qui estiment que l’instauration de cette bonne gouvernance ne dépendra que de l’équipe de la transition.

Selon la Friedrich Ebert Stiftung, « la majorité de la population pense que la transition peut avoir un impact sur la réconciliation entre les segments de la société ». Au sein de l’armée (82,2 %), entre l’armée et les groupes armés (52,7 %), les partis politiques et les citoyens (55,8 %), les syndicats et le gouvernement (74,4 %), entre les communautés elles-mêmes (76,9 %), entre les leaders religieux (66,8 %) et entre la justice et la population (71,5 %). Les Maliens gardent foi qu’au cours de cette transition, une véritable réconciliation pourrait régner entre ces segments de la société.

Le Mali-Mètre souligne également que les citoyens enquêtés ont dégagé des actions prioritaires auxquelles l’équipe de transition doit rapidement s’étendre. Ces actions sont la lutte contre l’insécurité (39,5 %), la résolution du problème de l’éducation (38,4 %), la lutte contre l’insécurité alimentaire (17,7 %), la lutte contre le chômage (14,4 %) et ramener la paix et la cohésion sociale (13,5 %).

Notons que ce sondage d’opinion spécial de la fondation Friedrich Ebert Stiftung, dédié à la transition, aborde entre autres les défis et priorités du gouvernement de transition, l’implication des organisations régionales et internationales dans la gestion de la transition, la crise comme opportunité de réconciliation entre les différents segments de la société malienne, etc.

Chiencoro

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Baptiste Jean Pierre representant de lOMS au Mali
Santé

« La situation est assez sérieuse et il faut attirer l’attention des populations », Baptiste Jean-Pierre sur l’aggravation de la covid-19 au Mali

by Sahel Tribune 10 décembre 2020
written by Sahel Tribune 2 minutes read

Face à la recrudescence de la pandémie du coronavirus au Mali, le représentant de l’OMS au Mali, Baptiste Jean-Pierre appelle à accentuer la communication afin d’obtenir un changement de comportement de la part de la population.

Entre le 1er et le 8 décembre 2020, 729 cas positifs de coronavirus ont été enregistrés au Mali. Le 2 décembre dernier, le Conseil supérieur de défense nationale a adopté plusieurs mesures afin de stopper l’avancée galopante de cette pandémie dans sa deuxième vague. « La situation est assez sérieuse et il faut attirer l’attention des populations pour que ces mesures soient appliquées et pour qu’on trouve les moyens de les faire appliquer », a expliqué Baptiste Jean – Pierre, le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Mali, à l’issue d’une conférence de presse sur la covid-19 à l’Institut national de santé publique (INSP).

Bien avant que le premier cas positif soit déclaré au Mali en mars 2020, ce pays a été cité en exemple pour sa vaste campagne de communication autour de cette pandémie, indique M. Baptiste Jean-Pierre avant de demander à soutenir le gouvernement malien, le ministère de la Santé et du Développement social à lutter contre cette maladie.

Le représentant de l’OMS au Mali est convaincu de la place centrale que joue la communication dans la riposte contre la pandémie de coronavirus. À l’en croire, c’est à travers la communication qu’un changement de comportement de la population sera obtenu.

Face à l’aggravation de la situation pandémique au Mali, Baptiste Jean-Pierre déplore le fait que de meilleurs moyens ne soient pas encore trouvés afin d’obtenir le changement de comportement de la population. « Le changement de comportement doit être primordial. Le suivi des contacts doit être primordial », fait-il savoir. Il opte également pour l’adoption d’autres mesures comme l’isolation des patients, la prise en charge des patients, le diagnostic, la vulgarisation, le contrôle des postes-frontière terrestres, pour lutter efficacement contre cette pandémie. 

Le représentant de l’OMS au Mali trouve que beaucoup de choses restent à améliorer au Mali dans le cadre de la lutte contre cette maladie.

Fousseni Togola

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