Le terrorisme est le mal que vivent la plupart des sociétés modernes. Cette nouvelle série de billets fictifs intitulée « Devoir de conscience » vise à montrer les problèmes auxquels ce phénomène peut donner naissance. La famine, les maladies, les enrôlements d’enfants-soldats auxquels les terroristes s’adonnent sont des fléaux qui déstabilisent nos États.
À travers cette série, je montre non seulement la part de responsabilité des parents dans l’enrôlement des enfants par les groupes terroristes, mais aussi celle de nos États.
Dans ce devoir de conscience, l’objectif reste surtout la conscientisation des citoyens du monde entier sur ce problème mondial qu’est le terrorisme. Les terroristes utilisent nos enfants pour grossir leur rang. Pour mettre fin à cet état de fait, l’éducation peut jouer un grand rôle. Il faut que nous changions de système éducatif et surtout que les États trouvent des moyens pour mettre les enfants, qui ont perdu leurs parents dans les guerres, dans les meilleures conditions de vie. Les parents doivent s’impliquer davantage dans l’éducation des enfants. Les orphelins de guerres doivent également être protégés.
L’écriture de cette série de billets fictifs m’est venue à l’esprit suite à mes questionnements incessants non seulement sur le statut des enfants qui perdent leurs parents dans les guerres terroristes, mais aussi, et surtout face à tous les problèmes, dont le Yémen, le Soudan du Sud, le Tchad, le Cameroun, le Mali, la Syrie, le Burkina Faso, la France, les États-Unis, le Niger, etc. ; traversent.
Tous les noms utilisés dans cette série ne sont que des noms fictifs, des noms pris dans le seul but du bon déroulement de ce travail de réflexion d’un jeune journaliste-blogueur et non d’un homme des lettres pures.
À lire sur Phileingora dès la semaine prochaine !
F. Togola
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