Au Mali, les examens du DEF (Diplôme d’études fondamentales) ont pris fin, mercredi 29 juin 2022. Ils étaient 237 540 candidats inscrits cette année, selon les chiffres du ministère de l'éducation nationale, répartis entre 1801 centres à travers le pays.
Carrefour migratoire et pays d’accueil du fait de sa proximité avec les îles espagnoles, le Maroc continue de briser les rêves des migrants subsahariens d’Afrique. C’est un nouveau drame de la migration aux portes de l’UE [Union Européenne] avec des pertes de vies humaines (environ 23) inacceptables qui vient de se produire.
Aux reprises des cours, on se voyait presque tous les jours au sein de l’établissement — dans le bureau des étudiants. La seule chose qui nous unissait à cette époque-là était juste les salutations, les taquineries et rien de plus.
Dans son rapport « Out of Libya », publié le 20 juin dernier, Médecins Sans Frontières (MSF) a lancé un appel aux pays européens et nord-américains à faciliter l’évacuation des migrants les plus vulnérables en Libye.
le Mali a lancé à Bougouni la 23e édition de la Quinzaine de l’environnement. Au tour du thème « se relever ensemble de la sécheresse », qui invite à l’élaboration de plans d’action pour réduire les catastrophes dues à la sècheresse, soutenir la préparation à la sècheresse et la résilience à l’échelle mondiale
Entre 400 et 600 km de la capitale malienne, Bamako, la réalité du changement climatique ne saute plus aux yeux d'un observateur averti. A Nioro du Sahel et Kayes, le vent violent, accompagné d'une immense poussière sous un soleil à vomir du feu, sont assez parlants.
En prélude à l’ouverture officielle de la 15e Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la Désertification (COP15), un sommet regroupant des chefs d’État et de gouvernement sur la sécheresse et la restauration des terres,
En raison de leur surexploitation, les ressources en sable se raréfient dans le monde. Ce qui pourrait conduire le monde vers un désastre planétaire, environnemental et économique.
Plus de la moitié du PIB annuel mondial, soit près de 44 000 milliards de dollars US, est menacée par la dégradation des ressources naturelles, indique la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD), dans le rapport « Perspectives foncières mondiales » (Global Land Outlook), publié mercredi 27 avril.